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Qu’est-ce que la Business Intelligence? Transformer les données en informations commerciales

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La Business Intelligence (BI) utilise des logiciels et des services pour transformer les données en informations exploitables qui éclairent les décisions commerciales d’une entreprise.

Définition de la Business Intelligence

La Business Intelligence (BI) utilise des logiciels et des services pour transformer les données en informations exploitables qui éclairent les décisions commerciales stratégiques et tactiques d’une organisation. Les outils de BI accèdent et analysent les ensembles de données et présentent les résultats analytiques dans des rapports, des résumés, des tableaux de bord, des graphiques, des graphiques et des cartes pour fournir aux utilisateurs des informations détaillées sur l’état de l’entreprise.

Le terme intelligence d’affaires fait également souvent référence à une gamme d’outils qui fournissent un accès rapide et facile à digérer aux informations sur l’état actuel d’une organisation, en fonction des données disponibles.

Exemples d’intelligence d’affaires

Le reporting est un aspect central de la Business Intelligence et le tableau de bord est peut-être l’outil de BI archétypique. Les tableaux de bord sont des applications logicielles hébergées qui rassemblent automatiquement les données disponibles dans des tableaux et des graphiques qui donnent une idée de l’état immédiat de l’entreprise.

Bien que la Business Intelligence ne dise pas aux utilisateurs métier quoi faire ou ce qui se passera s’ils suivent un certain cours, la BI ne concerne pas uniquement la génération de rapports. Au contraire, la BI offre aux utilisateurs un moyen d’examiner les données pour comprendre les tendances et obtenir des informations en rationalisant les efforts nécessaires pour rechercher, fusionner et interroger les données nécessaires pour prendre de bonnes décisions commerciales.

Par exemple, une entreprise qui souhaite mieux gérer sa chaîne d’approvisionnement a besoin de capacités BI pour déterminer où se produisent les retards et où existent des variabilités dans le processus d’expédition, explique Chris Hagans, vice-président des opérations de WCI Consulting, un cabinet de conseil axé sur la BI. Cette entreprise pourrait également utiliser ses capacités de BI pour découvrir quels produits sont le plus souvent retardés ou quels modes de transport sont le plus souvent impliqués dans les retards.

Selon Cindi Howson, vice-présidente de la recherche chez Gartner, une société de recherche et de conseil en informatique, les cas d’utilisation potentiels pour la BI vont au-delà des mesures de performance commerciale typiques, à savoir une amélioration des ventes et des coûts réduits. Elle souligne le système scolaire de Columbus, Ohio, et son succès en utilisant des outils de BI pour examiner de nombreux points de données – des taux de fréquentation aux performances des élèves – pour améliorer l’apprentissage des élèves et les taux de diplômés du secondaire.

Les fournisseurs de BI Tableau et G2 offrent également des exemples concrets de la façon dont les organisations peuvent utiliser les outils de Business Intelligence:

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Une organisation coopérative pourrait utiliser la BI pour garder une trace de l’acquisition et de la rétention des membres.

Les outils de BI peuvent générer automatiquement des rapports de vente et de livraison à partir des données CRM.

Une équipe commerciale pourrait utiliser la BI pour créer un tableau de bord indiquant où se trouvent les prospects de chaque représentant dans le pipeline des ventes.

Stratégie d’intelligence d’affaires

Dans le passé, les professionnels de l’informatique étaient les principaux utilisateurs des applications BI. Cependant, les outils de BI ont évolué pour devenir plus intuitifs et conviviaux, permettant à un grand nombre d’utilisateurs dans une variété de domaines organisationnels de puiser dans les outils.

Howson de Gartner différencie deux types de BI. Le premier est la BI traditionnelle ou classique, où les professionnels de l’informatique utilisent des données transactionnelles internes pour générer des rapports. La seconde est la BI moderne, où les utilisateurs professionnels interagissent avec des systèmes intuitifs et agiles pour analyser les données plus rapidement.

Howson explique que les organisations optent généralement pour la BI classique pour certains types de rapports, tels que les rapports réglementaires ou financiers, où la précision est primordiale et les questions et ensembles de données utilisés sont standard et prévisibles. Les organisations utilisent généralement des outils de BI modernes lorsque les utilisateurs métier ont besoin de comprendre des dynamiques en évolution rapide, telles que les événements marketing, dans lesquels la rapidité est plus importante que l’obtention de données 100% correctes.

Mais alors qu’une solide intelligence économique est essentielle pour prendre des décisions commerciales stratégiques, de nombreuses organisations peinent à mettre en œuvre des stratégies de BI efficaces, en raison de mauvaises pratiques en matière de données, d’erreurs tactiques et plus encore.

Logiciels et systèmes de Business Intelligence

Différents types d’outils entrent dans le cadre de la Business Intelligence. Le service de sélection de logiciels SelectHub décompose certaines des catégories et fonctionnalités les plus importantes:

Tableaux de bord

Visualisations

Rapports

Exploration de données

ETL (extraction-transfert-chargement – outils qui importent des données d’un magasin de données dans un autre)

OLAP (traitement analytique en ligne)

Parmi ces outils, SelectHub indique que les tableaux de bord et la visualisation sont de loin les plus populaires; ils offrent des résumés de données rapides et faciles à digérer qui sont au cœur de la proposition de valeur de BI.

Il y a des tonnes de fournisseurs et d’offres dans l’espace BI, et les parcourir peut devenir écrasant. Certains des principaux acteurs comprennent:

Tableau, une plateforme d’analyse en libre-service fournit une visualisation des données et peut s’intégrer à une gamme de sources de données, y compris Microsoft Azure SQL Data Warehouse et Excel

Splunk, une «plate-forme d’analyse guidée» capable de fournir une intelligence d’affaires et une analyse de données de niveau entreprise

Alteryx, qui mélange des analyses à partir d’une gamme de sources pour simplifier les flux de travail et fournir une multitude d’informations BI

Qlik, qui est basé sur la visualisation de données, la BI et l’analyse, fournissant une plateforme de BI étendue et évolutive

Domo, une plateforme basée sur le cloud qui propose des outils de business intelligence adaptés à diverses industries (telles que les services financiers, les soins de santé, la fabrication et l’éducation) et à des rôles (y compris les PDG, les ventes, les professionnels de la BI et les informaticiens)

Dundas BI, qui est principalement utilisé pour créer des tableaux de bord et des tableaux de bord, mais peut également effectuer des rapports standard et ad hoc

Google Data Studio, une version suralimentée de l’offre familière de Google Analytics

Einstein Analytics, la tentative de Salesforce.com d’améliorer la BI avec l’IA

Birst, un service basé sur le cloud dans lequel plusieurs instances du logiciel BI partagent un backend de données commun.

JavaScript contre Ruby contre Python. Qui gagne?

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Pendant des années, JavaScript a été relégué au développement frontal, mis en cage dans nos navigateurs clients. Avec l’introduction de Node, JavaScript et toute sa gloire asynchrone ont pu se déplacer librement dans le monde du développement back-end, faisant du langage une véritable menace double.

Si vous envisagez de créer votre startup entièrement en JavaScript, vous devez tenir compte de ces avantages et inconvénients.

Avantages:

Grâce au moteur V8 hautement optimisé de Google et à la conception asynchrone intrinsèquement non bloquante de JavaScript, certaines tâches gérées par Node sont, dans certains cas, 20 fois plus rapides que les tâches gérées par Rails. Il suffit de demander à LinkedIn, qui a supprimé Rails et l’a remplacé par Node pour de meilleures performances selon leur étude de cas.

Les développeurs JavaScript sont une équipe de destruction d’une femme / homme. Pourquoi paralyser votre startup en plein essor avec des frais généraux lorsque vous pouvez embaucher un développeur JavaScript qui peut écrire à la fois votre application Web principale et frontale en JavaScript. Une fois que vous êtes prêt à créer votre application mobile, le développeur JavaScript peut utiliser React Native pour créer une application pleinement fonctionnelle. Aucun Swift ou Java requis.

Node est l’avenir. Vous voulez être en mesure de vendre le VC de l’évolutivité de votre entreprise et la popularité croissante de Node fournit un modèle de croissance stable.

Les inconvénients:

JavaScript peut se transformer en monstre spaghetti s’il n’est pas utilisé correctement. Juste Google « enfer de rappel » et vous verrez à quel point JavaScript peut devenir illisible lorsque les programmeurs ne programment pas de manière fonctionnelle. Cela peut entraîner une base de code difficile à maintenir.

Le nœud vient de sortir de la presse. De nombreux développeurs sont encore en train de passer de l’idée que JavaScript fait que les choses s’amusent sur le Web à l’idée que JavaScript est suffisamment robuste pour être implémenté en back-end. Ensuite, vous devez prendre en considération que Node, contrairement à Rails et Django, est simplement une plate-forme qui permet à JavaScript de s’exécuter en dehors du client. Les dépendances comme Express, MongoDB et Mongoo se doivent également être apprises. Cela signifie une pénurie de développeurs Node-savvy qualifiés.

Ruby sur les stéroïdes

Avec la montée en puissance de la super équipe Node / Express / React, le framework Ruby on Rails semble avoir diminué aux yeux des développeurs. Cela n’aide pas que Ruby lui-même soit récemment tombé au 8e rang du classement linguistique de RedMonk, le plus bas jamais atteint. Ensuite, vous avez l’essor du Machine Learning, du Big Data et de l’A.I., seuls quelques-uns des nombreux mots clés futuristes ont été répétés ad nauseam lors des événements clés de Google. Python a monopolisé ce domaine de recherche axé sur les données, ce qui a à son tour nui à la popularité de Ruby.

Cela étant dit, examinons les avantages et les inconvénients de Ruby.

Avantages:

Ruby possède l’une des communautés de développeurs les plus actives, ce qui signifie une excellente documentation et des dépendances open source incroyables, ou «gemmes». Vous voulez utiliser une bibliothèque React dans votre application Rails? Il y a un petit bijou pour ça!

Le code Ruby est simple, mais expansif. La philosophie rubyiste «il y a plus d’une façon de résoudre un problème» peut être un peu écrasante au début, mais une fois que vous maîtriserez quelques méthodes, vous serez impressionné par les outils apparemment innombrables à votre disposition. Dites adieu aux polyfills.

Je le jure, Harry Potter a inventé Rails. Avec une seule commande d’échafaudage de rails g, Rails générera votre modèle, les migrations pour ce modèle, le contrôleur et une vue. Pas besoin de créer manuellement des fichiers. Le routeur de Rails est excellent en raison de son niveau d’abstraction. Par exemple, vous pouvez imbriquer des itinéraires à l’aide d’un pseudo-langage hautement sémantique sans avoir à taper une longue chaîne époustouflante. Une fois que vous aurez appris toutes les nuances de Rail, vous dimensionnerez rapidement les projets.

Les inconvénients:

Ruby a une kryptonite majeure: les performances lentes.

L’écran rouge de la mort de Rails peut vous faire arracher les cheveux. Souvent, le débogage d’une application Rails peut provoquer des cauchemars en raison de sa nature abstraite. Une fois que la magie s’est dissipée, il vous reste de longs appels de pile et des dossiers imbriqués à parcourir.

Tango de Python avec Django Unchained

Jeff Knupp, un programmeur Python, a publié un excellent article qui explique habilement pourquoi Python gagne en popularité. Bref, le langage est un outil pour les statisticiens et a donné lieu à la description de poste de «data scientist». Les développements récents de l’apprentissage en profondeur, une technique qui modèle l’apprentissage automatique des réseaux neuronaux du cerveau, a ouvert le domaine de l’IA. Si votre startup va présenter toute forme d’intelligence, avoir une base de code Python peut être la voie à suivre.

Voici quelques avantages et inconvénients de Python:

Avantages:

Comme Ruby, Python est lisible. Il est également typé dynamiquement afin que les exceptions soient déclenchées, ce qui conduit à des processus de débogage plus indolores.

Python est idéal pour les tâches de calcul en raison de son protocole tampon, qui permet de construire des extensions C à partir de Python, qui peuvent ensuite être utilisées pour créer de puissantes bibliothèques de calcul.

Le framework Django est similaire à Rails dans la mesure où un développeur obtient tout ce dont il a besoin pour mettre à l’échelle une application web prête à l’emploi. L’avantage, cependant, est que le principe de Python selon lequel «explicite vaut mieux qu’implicite» signifie qu’il y a moins d’abstractions dans Django que Rails.

Les inconvénients:

En raison de sa concentration sur le calcul, Python n’est pas un démon de la vitesse. En fait, c’est une fraction plus lente que Ruby… de 0,7%

Python est restrictif. La frappe dynamique est à double tranchant en ce qu’elle provoque plus d’erreurs, dont la plupart n’apparaissent qu’au moment de l’exécution. Cela signifie un processus de développement plus long. Le compilateur applique également son propre style aux programmeurs, les forçant à indenter et à espacer correctement de peur qu’ils ne soient frappés par des messages d’erreur forts.

La Formation professionnelle : l’Oise fortement touchée

Durant la semaine dernière l’Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) a annoncé un plan de changement qui prévoit la fermeture en France de 13 centres sur 112 et 25 centres associés. La région ne va pas y échapper et devrait même payer un dur tribut.

«  La Picardie est gravement touchée  », dénonce Éric Carpentier, secrétaire du comité régional d’établissement (CRE) et représentant Sud. Selon lui, une cinquantaine de postes sont avisés. «  Le centre de Beauvais va fermer et celui de Compiègne va devenir un centre annexe à celui de Creil, affirme-t-il. Et un centre annexe, on sait tous ce que cela veut dire à l’Afpa, ça veut dire que dans le futur, il va disparaître.  »

Les élus de Beauvais, Compiègne et Creil réagissent

Selon Eric Carpentier, sur les 16 formations actuellement existantes, il n’en restera qu’une seule. «  Seule la chimie va continuer à exister à Compiègne. Cela veut dire que si l’an prochain l’appel d’offres de l’Afpa pour la chimie n’est pas retenu par la Région, le centre va fermer ses portes sans que personne ne soit forcément informé. Car quand l’Afpa ferme un centre annexe, elle n’est pas obligée de le faire publiquement.  »

A travers une note que les élus du Pôle métropolitain de l’Oise (PMO), composé des agglomérations de Beauvais, Creil et Compiègne, vont réagir. «  Le PMO ne peut se résoudre à accepter cette décision et dénonce cette politique qui consiste à retirer des services et pénaliser nos concitoyens, avancent-ils. Chaque territoire a sa propre identité et les élus ne peuvent se réjouir de cette décision de concentrer les formations sur un même lieu. Loin de les diviser, le fait que Creil soit le seul bénéficiaire dans cette décision les rend au contraire encore plus solidaires pour s’élever contre ce projet. Les territoires du Beauvaisis et de la Région de Compiègne seraient privés du premier service public de formation professionnelle et d’un établissement structurant en matière de formation  ».

Le Challenge de la formation

La rivalité entre l’homme et la machine est au moins aussi ancienne que le métier à tisser. Toute révolution industrielle a porté son lot de prophéties millénaristes sur l’absence des travailleurs, que les bienfaits du progrès n’ont cessé de démentir. Il est donc naturel que la quatrième du nom – ou la troisième, le débat reste abordable chez les économistes – éveille les mêmes peurs, et appelle de la part des apôtres de la robotique des réponses tout aussi réconfortantes.

A la différence des antérieurs, la modification en cours frappe cependant par sa capacité à brouiller, en un intervalle de temps très réduit, les frontières du numérique et de l’humain. Aucune géographie, aucun domaine d’activité ne lui échappent ; son développement est simultanée ; son rythme, exponentiel ; même les décisionnaires les plus connectés ont peine à l’appréhender dans toutes ses dimensions. Intelligence artificielle, blockchain ou internet des objets ouvrent des éventualités illimitées, mais laissent craindre des changements sociétaux que ni la machine à vapeur, ni l’électricité, ni les premiers temps de l’informatisation n’avaient entraînés. S’il était admis jusqu’à présent que chaque innovation détruisait des tâches peu qualifiées et créait, en net, de l’emploi, la relation est plus que jamais sujette à caution. Sous le vocable peu rassurant de robocalypse, les grandes banques centrales étudient des scénarios noirs qui verraient également disparaître une bonne part des postes aujourd’hui dévolus aux cadres. Les risques d’atrophie des classes moyennes, de déclassement social et de creusement des inégalités, ferments de révolutions qui n’auraient cette fois rien d’industriel, sont à prendre au sérieux.

Les banques françaises, à qui l’on déclare depuis quarante ans le destin des hauts fourneaux, s’efforcent à leur niveau de traiter la question. Celle-ci se pose d’une manière particulièrement aiguë aux réseaux d’agences. Leurs responsables admettent qu’une majorité des emplois y auront disparu ou changé de nature à un horizon de cinq ans. Leur réponse tient en trois mots : formation, formation et encore formation, un domaine où la profession n’a jamais respecter sa peine et ses moyens. 

Miser sur l’homme pour mieux entrer dans l’âge des machines – l’intention est louable, et les efforts utilisés impressionnent. Ils répondent à une logique très classique : identifier les métiers et les besoins à trois ou cinq ans et y faire correspondre les investissements nécessaires. Toute la difficulté de l’exercice vient du fait que les formateurs eux-mêmes sont menacés d’obsolescence et ignorent tout des fiches des postes que les salariés de banque seront supposés tenir à moyenne échéance. En l’état de l’art, cette approche permet d’accompagner l’affectation du secteur. Si celle-ci devait s’accélérer, il en irait tout autrement.

Une formation qui ouvre les portes pour un métier

Une collaboration intéressante entre Pôle Emploi Lannemezan et l’UIMM (Union des Industries et Métiers de la Métallurgie) pour assister l’entreprise F-Tech dans le recrutement d’ajusteurs aéronautiques.

Former pour se former n’est pas un métier. Partant de cette observation, Pôle Emploi Lannemezan, sous la direction de Sonia Puysségur, avec l’équipe Entreprise, dont Stéphane Di Frata est le responsable ; l’UIMM Occitanie et Catherine Bourgeois, sa secrétaire générale du Bassin Adour, ont organisé une formation d’ajusteurs aéronautiques dans le cadre d’une Préparation opérationnelle à l’emploi collective pour notamment l’entreprise F-Tech.

Réellement, 27 chercheurs d’emploi ont postulé pour suivre une formation spécifique à ce métier et 17 ont réussi les tests par méthode d’embauche par simulation. Une rencontre directe a été organisée par la suite avec les employeurs. 10 places de formation de 400 heures en centre et en entreprise qui vont se dérouler du 25 octobre 2018 au 25 janvier 2019. Après cette formation, des contrats de professionnalisation (contrat en alternance) ou des missions d’intérim.

«L’objectif de cette formation est d’obtenir une qualification reconnue par les entreprises de la branche professionnelle», explique Huguette Gayrin, chargée de mission emploi à l’UIMM Occitanie.

«Il s’agit de donner une réponse aux besoins des entreprises et des demandeurs d’emploi et de ne pas faire de la formation pour de la formation», souligne Sonia Puysségur, la directrice de Pôle Emploi Lannemezan, qui ajoute que «quelqu’un qui veut aller vers des métiers en tension sera accompagné par le biais d’une formation reconnue».

Des profils d’horizons différents

Des personnes de 20 à 59 ans qui viennent d’horizons différents, tant géographiquement que professionnellement, ont fait acte de candidature à une formation d’ajusteur aéronautique.

Ainsi, Tristan Sanchez, de Louey, déclare : «Je veux intégrer la formation d’ajusteur aéronautique pour avoir un emploi fixe et faire carrière dans l’aéronautique. J’ai apprécié cette méthode de recrutement car on est tous mis sur un pied d’égalité avec cette simulation à un poste de travail».

Un bon choix de la formation, pour bien renforcer son profil d’entrepreneur

En formation initiale ou continue, les cursus sont multiples en entrepreneuriat à l’université, en écoles ou dans des organismes privés. Une analyse de ses besoins s’impose avant de choisir.

Chez les jeunes, l’envie d’entreprendre ne cesse d’augmenter. Aujourd’hui, plus d’un jeune sur deux veut créer son entreprise, selon plusieurs études. Et ils passent à l’action. La moyenne d’âge des créateurs d’entreprise, en 2017, était de 36 ans pour les entreprises individuelles, contre 38 ans deux ans auparavant, selon l’Insee. Le mouvement emporte aussi les moins jeunes. En juin 2017, le nombre de création d’entreprises a atteint un record historique en France. Sur les douze derniers mois, plus de 647.000 créations… du jamais vu !

La fermentation atteint également l’université, les écoles d’ingénieurs et de commerce, les centres de formation. Le catalogue des formations à l’entrepreneuriat s’étoffe. « C’est une tendance. Nous proposons aujourd’hui des cursus dédiés à l’entrepreneuriat, mais aussi des cours et modules au sein d’autres diplômes. Une partie de nos étudiants sont également sensibilisés via des événements et rencontres », explique Evelyne Marchetti, vice-présidente en charge de l’insertion et de l’entrepreneuriat étudiant à Aix-Marseille Université, où 200 étudiants sont maintenant suivis dans leur projet de création.

La formation doit combler des manques de compétences

L’offre de formations à l’entrepreneuriat, en France, est devenue solide et protéiforme. Il n’est pas aisé de s’y retrouver. Pour trouver celle qui correspond à son profil, une réflexion sur ses propres besoins s’impose. « Il faut analyser ce qui manque au futur créateur. S’il souhaite prendre du recul et se rassurer, un cursus court suffit. S’il a besoin de compétences clefs et d’un corpus plus important, mieux vaut un parcours plus long et développé », suggère Franck Giuliani, président de la Conférence des directeurs des services universitaires de formation continue.

Quand le projet est prêt, un coup de pouce suffit pour bien le placer à l’étrier. C’est le choix de Laurence Sonney en 2016. En reconversion, avant de créer sa boutique, La Déco by Lena à Thonon-les-Bains (Haute-Savoie), elle suit le stage  « Cinq jours pour entreprendre » offert par les CCI partout en France. « J’avais déjà les informations nécessaires pour ouvrir mon commerce, mais je voulais échanger avec des personnes dans la même situation. Nous avons passé cinq jours intéressants, avec de bons intervenants, ce qui m’a permis de réfléchir avant de me lancer », estime-t-elle. Ces stages sont ouverts à tous, précise Laurent Mabire, chargé de coordination entrepreneuriat à la CCI de Paris Ile-de-France : « Il n’y a aucun prérequis pédagogique, simplement une envie d’entreprendre et de structurer un projet. »

 

Formation-apprentissage : le grand bouleversement

Dévoilé aux régions depuis 1983 pour la partie formation professionnelle, apprentissage et alternance, renforcée par les lois Maptam [Modernisation de l’action publique territoriale et affirmation des métropoles, ndlr] et NOTRe [Nouvelle organisation territoriale de la République] pour la gestion des lycées et la stratégie régionale pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation, la compétence « formation », au sens large, a largement été un poste important pour les collectivités régionales. Mais la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel, votée le 1er août et promulguée le 5 septembre 2018, a fait enlever en éclats cette tradition.

Le gouvernement, malgré les essais du Sénat, a eu raison de la mobilisation des collectivités régionales. Elles ont dénoncé, tout au long du premier semestre 2018, « une vision parisienne et une méconnaissance totale du fonctionnement d’un CFA », indiquait Stéphanie Pernod-Beaudon, vice-présidente de la Région Auvergne-Rhône-Alpes chargée de la formation professionnelle et de l’apprentissage, au moment de la présentation de la loi, en janvier dernier. L’élue, l’une des têtes de file contre la réforme, a multiplié les interventions.

« Si certains CFA sont soutenus, c’est parce que nous avons la volonté de permettre à des métiers d’exister. Et fermer certains centres pour favoriser le regroupement dans les grandes métropoles signe la fin de ces savoir-faire régionaux », annonçait-elle.

La nouvelle loi n’a pas entièrement fermé la porte aux régions, mais elles ne sont plus au cœur du dispositif. Elles devraient appliquer leurs compétences à un « nouvel établissement public, France compétences, qui sera chargé de la régulation de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage », selon le ministère du Travail. Il sera dirigé par l’État, des régions et des organisations syndicales et professionnelles. La collecte de la taxe professionnelle – manne financière pour les régions – sera également administrée par les branches professionnelles.

Reste aux régions un rôle modeste : « Des actions d’information sur les métiers et les formations. » Pas de quoi contenter les régions qui semblent vouloir encore se mobiliser pour tenter d’influer sur la rédaction des décrets d’applications, à l’instar du président de la Région Centre-Val de Loire, François Bonneau, qui, selon nos confrères de La Nouvelle République, a interpellé la ministre dans ce sens.

Actullement, la Région Auvergne-Rhône-Alpes n’a pas réagi à nos sollicitations. Mais elle garantissait, en mars dernier, « qu’elle assurerait pleinement sa mission, jusqu’au bout ». Jusqu’ici, en complément de son soutien aux CFA, elle soutenait socialement les apprentis en leur versant entre 1700 et 3700 euros selon les cas, pour se loger, se déplacer ou s’équiper, soit un total de 16 millions d’euros d’investissements. Reste qu’on ignore comment, à l’avenir, ces actions qui ont permis de passer de 48 000 apprentis en 2015 à 50 310 apprentis en mars 2018, s’articuleront.

 

En Auvergne-Rhône-Alpes, par exemple, la formation représente le premier poste budgétaire de la région, soit 1,353 milliard d’euros en 2018, dont 336 millions pour les lycées publics, 228 millions pour la formation professionnelle, 190 millions pour l’apprentissage et 24 millions pour l’enseignement supérieur. Un classement fort, qui traduit la volonté et les efforts de son président, Laurent Wauquiez (LR), de faire de cette question un moyen clé de sa politique régionale, orientée vers l’emploi et le développement économique. Quitte à imaginer son propre modèle en se démarquant des autres collectivités françaises.

En 2016, alors que plusieurs régions françaises s’engageaient dans le Plan 500.000 formations initiées par le gouvernement de l’époque, Auvergne-Rhône-Alpes refusait de signer pour ce dispositif, officiellement au motif qu’elle le jugeait inefficace au regard des « mauvais résultats de l’évaluation de la mesure, qui ne répondait pas aux besoins des publics très éloignés de l’emploi, affirme Stéphanie Pernod-Beaudon. Or, ce sont eux qui ont besoin de formations en priorité. »

Ces personnes « fragiles » (personnes en situation de handicap, les femmes, les seniors et les bacheliers en rupture suite à une mauvaise orientation) sont donc privilégiées pour suivre une formation cofinancée par la région. Autres conditions : pour être efficaces, ces formations doivent être exclusivement « orientées vers les métiers en tension et des secteurs aux besoins identifiés », poursuit la vice-présidente. Ce dispositif, co-construit avec Pôle emploi, se traduit par le contrat d’aide et de retour à l’emploi durable (Cared). En 2017, 3.700 personnes ont bénéficié de ce dispositif, dont 200 CDI signés chez le géant de l’intérim Adecco ou l’entreprise de services à la personne O2. Un contrat Cared +, sur le même modèle, mais exclusivement réservé aux personnes en situation de handicap, a été lancé en partenariat avec l’Agefiph [Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des handicapés], en début d’année.

Reste pour la Région à gérer le plus gros volet de son budget formation, celui consacré aux 569 lycées. Avec près de 184 lycées professionnels, qui donne une grande importance également sur l’apprentissage et l’alternance, le combat ne fait que commencer.

 

Le champ de la formation professionnelle étendu et simplifié

À partir du 1er janvier 2019, ces réformes de la formation professionnelle peuvent être utilisés afin de réaliser une action de formation, un bilan de compétences, une validation des acquis de l’expérience ou une action d’apprentissage. 

Le livre III de la sixième partie du Code du travail est nommé « Formation professionnelle », et non plus « Formation professionnelle continue ». Cette petite modification apportée par la loi 2018-771 du 5 septembre 2018 pour la liberté de son avenir professionnel, publiée au Journal Officiel le 6 septembre 2018, peut sembler anodine, mais marque la volonté du législateur d’élargir le champ d’application de la formation professionnelle en y incluant les actions d’apprentissage. Dans un souci de simplification, la loi donne une nouvelle définition de l’action de formation et rationalise son périmètre. Ces mesures entrent en vigueur le 1er janvier 2019.

Le législateur a décidé à la fois d’étendre mais aussi de simplifier le champ d’application de la formation professionnelle. Simplifier, car il supprime l’actuelle longue liste des catégories d’actions de formation des article L6313-1 et suivants du Code du travail. Étendre, car il y intègre les actions d’apprentissage, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. En définitive, entrent dans le champ de la formation les 4 actions de développement des compétences présentées ci-après.

Une nouvelle définition de la formation

La loi définit l’action de formation comme une étape pédagogique pour atteindre un objectif professionnel. Elle peut être en tout ou partie à distance ou bien encore en situation de travail, dans des conditions prévues par décret, à paraître (C. trav. art. L 6313-2 modifié).

Il est assigné à l’action de formation 4 objectifs (C. trav. art. L 6313-3 modifié) :

– Accorder à toute personne sans qualification professionnelle ou sans contrat de travail d’accéder dans les meilleures conditions à un emploi ;

– Promouvoir l’adaptation des travailleurs à leur poste de travail et à l’évolution des emplois, assurer leur maintien dans l’emploi, participer au développement de leurs compétences et permettre l’acquisition d’une qualification plus élevée ;

-Abaisser, pour les travailleurs dont l’emploi est menacé, les risques d’une qualification inadaptée à l’évolution des techniques et des structures des entreprises, en les préparant à une mutation d’activité dans leur entreprise ou en dehors, et permettre à des salariés dont le contrat de travail est rompu d’accéder à des emplois exigeant une qualification différente ou à des non-salariés d’accéder à de nouvelles activités professionnelles ;

– favoriser la mobilité professionnelle.

Le bilan de compétences et la VAE :

Avec l’action de formation stricto sensu, figurent toujours dans le champ de la formation professionnelle le bilan de compétence et la validation des acquis de l’expérience (VAE). La définition du bilan de compétences est récemment  modifiée et recodifiée à l’article L6313-4 du mêm Code. Une nouveauté toutefois : le bénéficiaire du bilan n’est plus le seul destinataire du document de synthèse, celui-ci pouvant être désormais transmis au conseil en évolution professionnelle.

L’action de VAE, dont les modalités pratiques prévues par le Code de l’éducation sont inchangées, est définie comme celle ayant pour objet l’acquisition d’une certification professionnelle enregistrée au répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) (C. trav. art. L 6313-5 modifié).

L’apprentissage entre dans le champ de la formation

La nouveauté essentielle, l’action d’apprentissage forme la quatrième action de développement des compétences et ne constitue donc plus une catégorie à part exclue du champ d’application de la formation professionnelle. Le législateur en profite pour créer un dispositif de préparation à l’apprentissage.

En pratique, l’objet principal de l’apprentissage figure toujours dans le livre II de la sixième partie du Code du travail consacré au contrat d’apprentissage. Il est de donner à des travailleurs, ayant satisfait à l’obligation scolaire, une formation générale, théorique et pratique, en vue de l’obtention d’une qualification professionnelle sanctionnée par un diplôme ou un titre à finalité professionnelle enregistré au répertoire national des certifications professionnelles (Loi art. 11, II ; C. trav. art. L 6211-1 modifié).

Mais il est complété par 4 nouveaux objectifs réalisables dans le cadre des dispositifs de formation professionnelle (C. trav. art. L 6313-6 modifié) :

– faciliter aux apprentis d’obtenir une qualification professionnelle sanctionnée par un diplôme ou un titre à finalité professionnelle enregistré au RNCP ;

– Accorder aux titulaires d’un contrat d’apprentissage ainsi qu’aux apprentis originaires de l’Union européenne en mobilité en France une formation générale allié à une formation technologique et pratique, qui complète la formation reçue en entreprise et s’articule avec elle ;

– contribuer au développement des connaissances, des compétences et de la culture nécessaires à l’exercice de la citoyenneté ;

– contribuer au développement de l’aptitude des apprentis à poursuivre des études par la voie de l’apprentissage ou par toute autre voie.

Pour faciliter l’atteinte de ces objectifs, la loi implante un nouveau mécanisme de préparation à l’apprentissage inséré à l’article L6313-6 du Code du travail. Celui-ci a pour objet d’accompagner les personnes souhaitant s’orienter ou se réorienter par la voie de l’apprentissage. Il doit leur permettre de développer leurs connaissances et leurs compétences et de faciliter leur intégration dans l’emploi, en cohérence avec leur projet professionnel. Accessible en amont d’un contrat d’apprentissage et mise en œuvre par l’État, cette action de préparation est organisée par les centres de formation d’apprentis ou par des organismes et établissements déterminés par arrêté interministériel (à paraître). Les bénéficiaires sont obligatoirement affiliés à un régime de sécurité sociale et peuvent bénéficier d’une rémunération prise en charge par l’État en application de l’article L6341-1 du Code du travail.

La Formation professionnelle

La formation professionnelle est au centre des défis économiques et sociaux. C’est en effet tout à la fois :

  • Pour les entreprises, un moyen majeur de compétitivité et de transformation, pour faire face efficacement aux mutations économiques : une entreprise qui forme ses salariés, c’est une entreprise qui s’adapte et qui évolue ;
  • Et pour les personnes, l’opportunité de développer et d’adapter ses compétences, pour garantir son employabilité et faciliter sa mobilité.

La formation professionnelle permet en effet à chaque personne, indépendamment de son statut, d’acquérir et d’actualiser ses connaissances et ses compétences, d’accroître son niveau de qualification et de favoriser son évolution professionnelle. C’est un élément déterminant pour être acteur de sa vie professionnelle.

L’accès à la formation professionnelle peut se faire tout au long de la vie :

  • Dans la cadre d’une formation initiale assurée par le système éducatif comportant des enseignements scolaires et universitaires. L’apprentissage assure la formation initiale de jeunes en alternant périodes de formation et période en entreprise.
  • Dans le cadre de la formation professionnelle continue, qui s’adresse à toute personne déjà engagée dans la vie active (y compris les personnes en recherche d’emploi).

La formation professionnelle continue relève, en France, de compétences partagées entre l’État, les Régions et les organisations professionnelles.

Formation sur l’ambulatoire : une opportunité pour les infirmiers libéraux

L’Unité mixte de formation continue en santé Aix-Marseille offre pour l’année 2018-2019, un Diplôme d’études supérieures universitaires (DESU) « Virage ambulatoire et pratique infirmière libérale ». C’est une formation qui a pour objectif d’accompagner les infirmiers dans les transformations liés au virage ambulatoire et à consolider leur place dans les premiers soins.
« Le but avec cette action est de faire un bilan sur la pratique ambulatoire en s’adressant aux professionnels qui sont en première ligne, les infirmiers libéraux, et de leur offrir l’opportunité de créer un bagage consistant sur cette pratique et cette prise en charge », explique le Dr Anne-Laure Couderc, qui gère le DESU.

Le DESU est organisé autour de cinq modules. Celui portant sur les « généralités du virage ambulatoire » est obligatoire. Il concerne à expliquer aux idels les défis de la nouvelle organisation liée au virage ambulatoire, tout en insistant sur les prérogatives infirmières en termes d’organisation, de raisonnement clinique, de coordination et de réglementation professionnelle infirmière. « Ce module de 120 heures va notamment être dispensé par des infirmiers libéraux, des infirmiers coordinateurs ou encore des représentants de la Haute autorité de santé », rapporte le Dr Couderc.
Les idels vont ensuite choisir au minimum deux modules parmi quatre, tous d’une durée de 30 heures. Le deuxième module porte sur la chirurgie ambulatoire et la Récupération améliorée après chirurgie (RAAC). Le troisième va aborder l’oncologie médicale et chirurgicale. « Dans ce module, un point va être fait sur les effets secondaires des chimiothérapies, de la radiologie et sur la chirurgie ambulatoire en cancérologie, car les idels prennent en charge de nombreux patients atteints de cancer », indique le Dr Couderc. Le quatrième module va être consacré aux personnes âgées et à la fragilité. Les formateurs vont dispenser un enseignement sur le concept de fragilité et sur les grands syndromes gériatriques afin d’apporter une formation utile à la pratique libérale. Enfin, le cinquième module va porter sur les maladies chroniques. « Dans ce module, nous avons décidé d’aborder les maladies chroniques traitées dans le diplôme d’Etat en pratique avancée et d’y ajouter l’insuffisance rénale et la dialyse », fait savoir le Dr Couderc.

La formation, est accessible aux idels ayant trois ans d’expérience en libéral, va être faite à Marseille en présentiel (sauf un Mooc). Elle va commencer en novembre pour s’achever en juin. Actuellement, une vingtaine d’idels sont inscrites à cette formation qui peut recevoir une quarantaine de professionnels. Le diplôme coûte 1600 euros, mais les infirmières peuvent se le faire financer jusqu’au 1400 euros par le Fonds interprofessionnel de formation des professionnels libéraux (FIFPL) en fonction de leur cotisation.
Les cours auront lieu tous les mardis. Un examen écrit viendra clore l’année de formation et valider l’obtention du diplôme. « Avec ce DESU, nous voulons participer à l’amélioration des pratiques, conclut le Dr Coudrec. Nous revoyons les bases et dispensons des nouveautés, afin d’apporter un bagage aux infirmières libérales qui souhaitent aussi aller plus loin dans leurs connaissances et leur pratique. »