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Mathieu Sbai Hand to Hand l’association humanitaire qui prône la transparence totale

Les dons humanitaires ne bénéficient pas toujours aux nécessiteux. Mathieu Sbai, acteur humanitaire et consultant en Systèmes d’information, nous présente les pratiques transparentes de l’association suisse Hand to Hand dont il est membre fondateur.

Hand to Hand est une association suisse de bienfaisance. Une énième association caritative au financement opaque penseriez-vous ! Vous avez raison d’être méfiant, c’est même souhaitable et recommandé. Mais l’association Hand to Hand se distingue par la totale transparence de son mode opératoire et par la qualité de ses standards de gestion. Ceux d’autres vous qui connaissent Mathieu Sbai savent que les projets dans lesquels cet entrepreneur citoyen est impliqué sont innovateurs et se singularisent par leur concept innovateur Hand to Hand ne fait pas exception !
De la malfaisance sous couvert de l’Humanitaire

Mathieu Sbai association hand to Hand .
Mathieu Sbai


Acteur humanitaire et consultant en Systèmes d’information

Hand to Hand est une association suisse de bienfaisance. Une énième association caritative au financement opaque penseriez-vous ! Vous avez raison d’être méfiant, c’est même souhaitable et recommandé. Mais l’association Hand to Hand se distingue par la totale transparence de son mode opératoire et par la qualité de ses standards de gestion. Ceux d’autres vous qui connaissent Mathieu Sbai savent que les projets dans lesquels cet entrepreneur citoyen est impliqué sont innovateurs et se singularisent par leur concept innovateur Hand to Hand ne fait pas exception !
De la malfaisance sous couvert de l’Humanitaire

Mathieu Sbai Hand to Hand

Avant de vous présenter l’association Hand to Hand, nous allons commencer par un sujet douloureux, notamment pour les personnes charitables, habituées ou désireuses d’aider d’autres personnes dans le besoin.
Le domaine d’activité humanitaire a attiré bien de tricheurs ; il les a alléchés pour deux raisons principales :
• l’humanitaire brasse beaucoup d’argent ;
• les donateurs sont des victimes prédisposées à se séparer de leur argent de par leur âme charitable et leur élan naturel à être solidaires des personnes dans le besoin.
Les tromperies sous bannière humanitaire se multiplient partout et prennent plusieurs formes. Constant l’ampleur de ces fraudes, l’ONU a même lancé une alerte sur son site.
Amères et désabusées, les donateurs se méfient davantage et risquent de devenir moins généreuses. Face à cette menace, les associations de bienfaisance doivent prêcher la clarté des procédures, la transparence des comptes et la communication permanente : c’est ce que fait l’association Hand To Hand.


Hand To Hand : visibilité totale et zéro intermédiaire

Tirant des leçons de ces constats malheureux, l’association Hand To Hand, fondée par plusieurs citoyens suisses et étrangers , s’est fixée comme objectif de mettre en place une infrastructure pour que les dons de ses membres servent à financer des besoins précis et identifiés à l’avance par les donateurs.
Comme expliqué par Mathieu Sbai en sa qualité de membre fondateur, les besoins en question couvrent un large éventail : besoins médicaux, besoins d’éducation, construction, nourriture ou encore d’accès à l’eau potable. Les champs d’intervention de l’activité humanitaire sont larges et s’élargissent davantage.
Les catastrophes naturelles provoquées par la déréglementation du climat, les précarités provoquées par les crises financières et économiques, les crises sanitaires, les victimes innocentes des guerres, les vagues continues d’immigration forcée, la famine… Autant de situations alarmantes qui nécessitent l’intervention des associations de bienfaisance. Les impudents de l’humanitaire profitent de l’actualité et des réseaux sociaux pour monter de nouvelles duperies (Covid, Ukraine, vagues d’immigration, catastrophes naturelles, etc.).


La suppression des intermédiaires comme mesure anti-fraude

Souvent, le bénéficiaire supposé d’un don humanitaire se trouve dans un pays géographiquement lointain de celui du donateur. Par exemple, un bienfaiteur suisse est sollicité pour financer plusieurs types de projets :

• envoyer des aliments à un pays asiatique touché par la famine ;
• permettre l’accès à l’eau potable dans une zone de sécheresse en Afrique ;
• financer des soins médicaux en Amérique latine ;
• reconstruire les écoles ou les maisons dans une région dévastée par la guerre.

L’intermédiaire charlatan mendigote les passants en pleine rue ou utilise les technologies de l’Internet pour embobiner les donateurs internautes. Il prétend être sur place, avoir des contacts locaux ou encore posséder une antenne régionale. Habitués à ce mode de collecte de dons pratiqué depuis des années par des associations et des organismes honorables, les bienfaiteurs acceptent de verser de l’argent ou de signer un chèque au bénéfice de l’intermédiaire sans se méfier de l’usage réservé à ces dons.

C’est de ce constat qu’a émané l’idée de supprimer les intermédiaires entre les donateurs et les bénéficiaires chez les fondateurs de Hand To Hand.


Comment opère l’association caritative Hand To Hand ?

Pour l’instant, toutes les mises en relation et les contrôles se font manuellement. Les membres de l’association recherchent constamment des personnes en situation de nécessité dans leur entourage plus ou moins proche et proposent ces occasions de faire des dons à leurs pairs et connaissances.
L’association propose un suivi de l’utilisation des fonds collectés. Par exemple, un donateur qui a décidé de donner des fonds pour construire une maison à une famille défavorisée pourra suivre l’avancement des travaux en temps réel et accéder à un décompte précis des dépenses et des achats effectués. Pour éviter les abus, ces opportunités de dons sont contrôlées par d’autres membres volontaires. L’anonymat du donateur vis-à-vis du bénéficiaire est préservé.
La transparence et le contrôle des dépenses sont de rigueur chez Hand To Hand, mais les gestionnaires de l’association cherchent à mieux faire.

Mathieu Sbai Hand to Hand


Hand To Hand : la technologie au service de la transparence

Matieu Sbai est un consultant en projets informatiques de grande envergure et fondateur d’un centre innovant de formation en informatique (Village de l’emploi). Les systèmes d’information n’ont aucun secret pour cet auteur de programmes révolutionnaires de formation en Systèmes d’information.
Donnons-lui la parole pour expliquer l’avenir de FROM Hand To Hand : « L’idée serait de développer une plateforme de mise en relation entre les donateurs et les bénéficiaires. Les donateurs anonymes auraient accès à une liste de besoins mise à jour en temps réel et pourraient contrôler l’utilisation de leurs fonds directement depuis l’application. Cette application permettrait de généraliser l’approche et de faire de From Hand To Hand une référence en matière de dons transparents et sécurisés. »

Ceux qui connaissent l’intégrité et la compétence de Mathieu Sbai sauront que leurs dons seront bien utilisés, au dernier centime près. Les plus méfiants ont la possibilité de tracer le parcours de leur argent en temps réel grâce à la haute technologie et aux meilleurs standards de management de l’humanitaire.
Vos dons sont entre de bonnes mains et finiront entre les bonnes mains !

Mathieu Sbai

10 ans de transformation numérique

Après s’être exigé dans le paysage du BPM en open source dès 2009, Bonitasoft a fait changer son offre et sa stratégie. Dix ans après, l’éditeur français se concentre sur les projets de changement numérique complexes des grandes entreprises. Pour compléter sa plateforme de BPM et développement low code sur la partie RPA, il s’est aussi adjoint à l’éditeur UIPath.

Bonitasoft aura 10 ans en Juin. L’éditeur français, qui a immergé ses premières racines du côté de l’Inria, s’est remarqué d’emblée en développant sa solution de BPM en open source. 10 ans plus tard, sa plateforme se concentre sur les projets de changement digital des grands comptes. A l’ère du low code, un vocable que Miguel Valdés-Faura, co-fondateur et PDG de Bonitasoft, manie avec circonspection, l’entreprise « aide les équipes métiers à faire évoluer leurs applications », nous a développé le dirigeant. Plus les entreprises clientes sont grandes, plus leurs projets sont complexes. « Là où nous sommes particulièrement bons, c’est lorsque nous accompagnons des équipes multidisciplinaires – architectes, développeurs, ergonomes, équipes métiers… – sur plusieurs géographies », annonce-il. Collaboration, agilité et progrès continue forment le terrain où Bonitasoft « excelle » actuellement, expose le PDG.

Lorsque la société s’est fondée, il y a 10 ans, elle a très vite développé son activité hors de l’Hexagone. L’international, « c’est évident aujourd’hui, ça l’était moins en 2009 », déclare Miguel Valdés-Faura qui a cofondé l’entreprise avec Charles Souillard, actuel directeur des opérations, et Rodrigue Le Gall, parti en 2015 sur d’autres projets. Dès le début, la start-up installée à Grenoble s’est vigoureusement capitalisée avec des levées précoces qui totalisent maintenant 28 M€ à travers 4 fonds français, Ventech, Auriga Partners, Serena et Bpifrance. Un coup d’œil dans le rétroviseur fait apparaître une croissance de Bonitasoft en deux phases. Une première phase d’hypercroissance sur le chiffre d’affaires, avec une forte amélioration aux Etats-Unis et en Amérique latine, s’est accompagnée des habituelles dégâts associées à ce schéma de développement. Sur la deuxième phase, la société est changée profitable, depuis 3 ans. Désormais, Bonitasoft veut annoncer la solidité financière qui « rassure les gros clients », tout en gardant son esprit start-up, nous a exposé Miguel Valdés-Faura. Il confie piloter l’entreprise un peu différemment ces deux dernières années. Objectif principal : soutenir les clients existants. Et de fait, le taux de rétention atteint actuellement 93%. Rien de surprenant à cette progression. Au début de son parcours, Bonitasoft a voulu tester différents marchés et types de clients. « Nous avions un taux de croissance énorme avec de nombreux petits comptes ». Or, les petits clients ont tendance à « churner », ajoute le PDG, passant d’un éditeur à l’autre suivant les projets. Avec l’expérience, l’éditeur français a donc creusé son sillon avec les grands comptes sur des projets critiques où il confirme sa pertinence. Ses priorités commerciales se cristallisent maintenant sur l’Europe et les Etats-Unis, les deux marchés de référence pour Bonitasoft, même si la société effectue continuellement 16% de son activité en Amérique latine à travers des partenaires locaux (le marché est complexe, chaque pays est différent).

L’approche low code, à aborder soigneusement

Sur l’approche low code, Bonitasoft se étal prudent. S’il la prétend, à l’instar des autres acteurs historiques du BPM, Miguel Valdés-Faura met les entreprises en garde. D’Outsystems à Mendix en passant par ServiceNow et Salesforce, tout le monde fait du low code, déclare-t-il. Mais il est risqué de laisser croire que le low code admet de se passer de développeurs. Prétendre que l’on peut mener un projet de changement numérique avec une banque en croyant que les équipes métiers vont concevoir l’application en low code, cela prête à sourire, pour le moins, souligne-t-il. « Oui, l’équipe métier va travailler avec l’équipe technique, mais c’est dangereux de prétendre que l’on peut parvenir sans développeurs ». Pour tout projet, Bonitasoft s’enquiert en préambule des profils techniques impliqués. Selon le niveau de criticité du chantier, l’éditeur préfère le refuser si le client veut s’y engager sans partenaire ni développeur. Ce qui peut se faire pour de petites applications métiers n’est pas acceptable pour des projets sophistiqués. « Inutile de donner de faux espoirs », déclare Miguel Valdés-Faura. S’il y a le moindre problème, l’image est mauvaise pour tout le monde, avance-t-il en appuyant sur le fait que Bonitasoft se concentre justement sur les projets complexes.

Entre les clients français de l’éditeur, il cite Crédit Agricole, Maif, Orange et plusieurs ministères. « Ces 4 modèles sont assez représentatifs de nos différents clients ». Les banques, assurances et opérateurs de télécommunications changent sur des marchés très concurrentiels où la priorité numéro 1 est de chiper des clients aux autres et de les retenir, d’où la nécessité d’une transformation numérique. « Quant au secteur public, c’est l’un des marchés historiques du BPM, surtout en Europe », interpelle le dirigeant.

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Devops et progrès des processus par l’IA

Quand on le questionne sur les particularités de Bonitasoft face à la très forte rivalité existant sur le marché du BPM, du low code et des projets de changement, le co-fondateur expose d’abord la démarche open source. Celle-ci permet de ne choisir qu’une partie de la plateforme et d’offrir une flexibilité au client. Le dirigeant cite ensuite l’extensibilité. « C’est un peu lié. Sur certaines applications que vous voulez customiser, on peut ajouter son code », déclare-t-il. « Nous outillons les équipes de développement et pas seulement les métiers ». Aux développeurs, Bonitasoft fournit à la fois une interface graphique simplifiée avec des fonctions « click and drag » et admet aux développeurs web certifiés d’ajouter leur propre code. « Et les deux équipes vont travailler ensemble au fil de l’eau ; c’est pour cela que c’est important que les équipes techniques participent au projet », souligne le PDG.

Autre point important : le développement fréquentatif et agile. « L’effet tunnel des projets, tout le monde en a assez », déclare Miguel Valdés-Faura. Les deux derniers composants, vendus indépendamment de la plateforme Bonita, se concentrent donc sur la livraison continue des applications, avec Continuous Delivery (BCD), et sur le progrès continu, avec Intelligent Continuous Improvement (ICI). Avec BCD, les équipes Devops peuvent « facilement et rapidement déployer un nouveau serveur Bonita, dans le cloud par exemple, et le scaler », explique le PDG. Le composant permet de gérer le cycle de vie des applications de façon itérative et de faire du versioning. « Tout est automatisé ». L’outil admet de tester les différentes versions et peut être intégré à l’outillage de test des développeurs. Le composant d’amélioration continue, Bonita ICI, s’appuie de son côté sur l’IA. Sa capacité à faire des prédictions vient aider les métiers à prendre des décisions pour faire évoluer certains processus. Dans une banque par exemple, en regardant les algorithmes de traitement des prêts depuis 2 ans, le composant peut persuader qu’il peut y avoir un problème avec telle ou telle demande de prêt. Cette avertissement pourra conduire à élaborer une nouvelle version qui redirigera ces demandes problématiques vers une autre équipe de la banque. Les métiers restent autonomes mais lorsque l’attention doit être modifiée, ils peuvent participer avec les développeurs, explique le dirigeant. « Plus le projet est complexe, plus on apporte de la valeur, c’est la réalité des gros projets et c’est une chose que nous avons apprise aussi au fil des années. On ne peut pas couvrir tous les projets pour toutes les entreprises », termine Miguel Valdés-Faura.

Sur le RPA, une complémentarité avec UIPath

Le RPA, Robotic process automation, est l’un des autres mots-clés souvent aperçus ces derniers mois qui ont vu la montée éclatante d’un éditeur comme UIPath avec lequel Bonitasoft a noué un partenariat il y a 18 mois. Avec le RPA, technique fort ancienne revenue en force sur le devant de la scène, il s’agit d’automatiser les tâches répétitives robotisées par logiciel. Ces solutions viennent compléter les plateformes des spécialistes du BPM tels que Bonitasoft. Le RPA agit sur des tâches et des évolutions existantes. La complémentarité avec le BPM intervient dès qu’il y a de la coordination et qu’il faut distribuer du travail entre différentes personnes. Le partenariat avec UIPath crée des occasions. Sur les projets de transformation, il faut repenser les processus avec le BPM, mais certaines étapes d’un processus global peuvent être confiées à un robot. « Dans les projets qui ne sont pas encore mûrs ou de court terme, les entreprises commencent par le RPA, quand les projets sont plus transverses, les deux technologies sont utilisées. Nous essayons d’adresser les clients ensemble ».

10 ans après, Bonitasoft assemble 80 salariés dont 65 sont en France – à Grenoble où se trouvent les équipes de R&D ou Paris – et 15 personnes à San Francisco. Un caractère toutefois. Même si l’entreprise a gardé ses bureaux, en réalité, « tout le monde peut travailler où il le souhaite », expose Miguel Valdés-Faura. Le télétravail est un terrain sur lequel l’éditeur est allé précautionneusement, petit à petit. Mais « la nouvelle génération a beaucoup d’attente sur l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle », rappelle le PDG. « Nous demandons seulement un calendrier à jour et partageable et que l’organisation personnelle ne nuise pas au travail d’équipe ». Enfin, lorsque l’on interroge le dirigeant sur une incertaine introduction en bourse. « J’essaie de ne pas fermer les portes et je regarde différentes options dont celle-là. Mais ce n’est pas une priorité », fini-il.

Microsoft : Une formation complète pour tout savoir sur l’ordinateur quantique.

Inversement à l’ordinateur habituel qui ne fait qu’analiser de l’information, l’ordinateur quantique réalise ses calculs en utilisant immédiatement les lois de la physique quantique. L’ordinateur quantique n’utilise pas des bits, mais des qubits. Rien que le fait d’invoquer le terme ordinateur quantique est inquiétant, alors parler de sa programmation paraît inimaginable. Malgré cela, Microsoft reste optimiste, et prévois avec Alphabet X et Brilliant un programme e-learning autour de l’ordinateur quantique.

Un espace plein d’avenir.

La formation débute par les notions de base. Les premiers cours apprennent l’élève au langage Q# de Microsoft. Ce langage permet de saisir des algorithmes quantiques plutôt simples dans un premier temps, avant de passer à des scénarios bien plus complexes. Cette formation de 16 à 24 heures ne requête pas de promesse spécifique. En ce moment, Brilliant offre les deux premiers chapitres pour une durée limitée.

L’ordinateur quantique demeure intrigant. Cette formation admet d’en apprendre plus sur le concept, et surtout d’appréhender la vague d’emplois en ordinateurs quantiques, qui pourrait précipitamment se profiler à l’horizon. Longtemps perçu comme une simple idée de physicien, l’ordinateur quantique devient peu à peu une réalité. Il semblerait que dans les années à venir, ces machines devancent nos ordinateurs classiques.

Lors du CES 2019, IBM a montré ce qui est devenu le premier ordinateur quantique à être commercialisé. De son côté, BMW aperçoit déjà d’utiliser la puissance du quantique pour progresser le trafic. En Chine, cette technologie reste plus avancée puisque le premier réseau de communication quantique au monde y est établi depuis 2017.

Le SDK de Windows Media Center disponible sur GitHub 6

Une partie des acheteurs de Windows 7 avait été spécialement dépossédée lors de l’annonce de Windows 10 : le Media Center était abandonné.

Comme le rappelle Neowin, certains étaient malgré cela arrivé à le faire cheminer sur le nouveau système avec quelques bidouilles. Mais chez Microsoft, la direction saisie était claire : si les clients commandaient un centre multimédia, il fallait passer par la Xbox.

Certains s’enchantent continuellement au vieux composant. À tel point que Charlie Owen, ancien employé de Microsoft, a ouvert un dépôt GitHub pour y démettre le SDK du Media Center.

Nos confrères invoquent, comme on peut s’en deviner, que le SDK en tant que tel ne sert pas nécessairement. Il peut conserver une valeur « éducative » pour apercevoir comment marchait un composant qui fut estimé dans Windows en son temps.

Il est éventuel malgré cela que Microsoft n’estime rarement l’idée et fasse disparaître le dépôt.

Alphabet : le Cloud engendre plus de rétributions, les pubs Google de moins en moins

Au premier trimestre 2019, les rétributions générées par le Cloud d’ Alphabet, la maison-mère de Google, sont en forte accroissement. Malgré cela, l’accroissement de rétributions générées par la pub est en diminution et la firme de Mountain View n’a pas atteint les attentes des analystes de Wall Street. Le début d’une nouvelle ère pour Alphabet et Google ?

Alphabet, la maison-mère de Google, vient d’enseigner ses rétributions pour le premier trimestre 2019. Le chiffre d’affaires atteint 36,3 milliards de dollars, ce qui indique une augmentation de 17% par rapport au T1 2018. Selon Ruth Porat, le CFO de Google et Alphabet, cette forte augmentation est particulièrement liée aux recherches mobiles, à YouTube, et surtout au Cloud.

Alphabet ne dévoile pas exactement le montant des revenus générés par son Cloud, qui est intégré à la catégorie  » autres  » aux côtés des produits Google Hardware tels que les smartphones Pixel ou l’enceinte connectée Gogle Home. Malgré cela, on sait que cette catégorie a généré 5,4 milliards de dollars soit 25% de plus que l’année antérieure à la même période.

À titre de comparaison, Microsoft a noté une augmentation des revenus de 76% pour son Cloud Azure, et Amazon une croissance de 41% pour Amazon Web Services. Autant dire que le Cloud a le vent en poupe en ce début de cette année. Rappelons qu’Amazon Web Services est le dirigeant du marché, suivi par Microsoft et loin derrière par Google et IBM.

Alphabet désappointe les analystes de Wall Street : échec ou commencement d’une ère nouvelle ?

Inopportunément, en dépit de cette croissance non dérisoire, Alphabet n’a pas été en mesure de répondre aux attaques des analystes de Wall Street. Ces derniers espéraient un chiffre d’affaires nettement plus élevé de 37,34 milliards de dollars. Par la suite, en fin de journée le lundi 29 avril 2019, l’action Alphabet était en baisse de 7% avec une valeur unitaire de 1 203,20 dollars.

Cet échec en demi-teinte est notamment lié à la baisse de l’accroissement des revenus publicitaires d’Alphabet. Cette activité reste la principale source de revenus de l’entreprise, et a généré à elle seule 30,7 milliards de dollars. Ceci symbolise une hausse de 15% sur un an par rapport au premier trimestre 2018. Bien que, l’an dernier à la même période, le taux de croissance s’élevait à 24% en un an.

Dans ce bilan trimestriel, on peut voir le début d’une nouvelle ère pour Alphabet. Bien que la baisse de l’augmentation de son activité publicitaire, la firme de Mountain View affirme avoir confiance en l’avenir grâce au Cloud. Bin qu’elle soit encore en troisième position sur le marché, la société américaine est résolue à rattraper son retard et à égaler voire dépasser Amazon dans un avenir proche. Par ailleurs, rappelons que Google a dernièrement annoncé son service de Cloud Gaming intitulé  » Stadia «  qui pourrait rencontrer un succès colossal auprès du grand public.

Le « reporting BI » (business intelligence)

Le « reporting BI » (business intelligence)

La Business Intelligence (BI) est connue de certains experts et dans plusieurs domaines comme la logistique, la comptabilité, la finance. Un grand nombre de métiers l’utilisent, actuellement, à la Business Intelligence (BI) ou, en français, l’informatique décisionnelle. La BI peut être déterminé comme un ensemble de moyens qui admettent de rassembler des quantités de plusieurs données, dans le but d’assembler des informations utiles et importantes pour les utilisateurs et assistants. On parle souvent de reporting dans la Business Intelligence.

Qu’est-ce que le reporting dans la Business Intelligence ?

La Business Intelligence est l’assemblage et l’analyse de données indispensables et importantes, provenant de diverses sources d’informations (sites web, documents Word, PDF, graphiques, études.), le tout à destination d’utilisateurs tels que vos collaborateurs ou pour d’autres entreprises. Ultérieurement, ces derniers analyseront le reporting de la BI. En effet, nous parlons fréquemment de reporting à ce sujet : le reporting est un rapport bien défini et simple d’analyse. Il rassemble les données touchées provenant de différentes sources de qualité. Dans un sens plus large, le reporting de la BI est aussi la présentation de ces données sous forme simplifiée et la plus compréhensible possible pour vos collaborateurs. Pour conclure, retenez que la collecte des données est le socle ultime de la Business Intelligence.

Comment fonctionne effectivement la BI ?

Une fois les données identifiées et la qualité étudiée ; elles sont stockées dans un serveur informatique. Dans un langage plus professionnel, on nommera cela le Datawarehouse (entrepôt de données) ou Datamart (magasin de données).

Que faire de ces données ?

Elles peuvent être utilisées par les sociétés et partagées à tous les utilisateurs selon la nécessité et l’envie de chacun, selon leurs métiers et leurs domaines de compétences. Le but final, une fois les données assemblées, est de cultiver ces informations rendues abordable et rassemblées en un seul et même rapport. L’utilité est alors de prendre des décisions pertinentes suite à ces rapports. Une fois le rapport rendu sous forme de tableaux, de graphiques, de camemberts, d’infographies ou encore de cartographies, les données sont libres d’utilisation. Bien sûr, si l’information est mal comprise (ou pire, fausse), elle emportera des mauvaises prises de décision qui peuvent être préjudiciables à l’entreprise. C’est pourquoi on peut dire que la BI a des limites également : il faut voir cela comme une base de données essentielle qui amènera à des prises de décision qui valent continuellement une réflexion mais qui sont abrégées par le reporting.

Les avantages essentiels de la BI

Actuellement, la Big Data et la collecte de données est primordiale pour les sociétés, en terme de bénéfice de temps et d’argent. De ce fait, le plus grand avantage est certainement de rendre abordable des données captivantes pour toutes les entreprises, selon leur domaine d’activité, et ainsi d’avoir une prise de décision bien plus rapide grâce au reporting et à sa mise en forme. Car c’est aussi la mise en page de ce reporting qui est un privilège de qualité : graphiques, cartes, visuels, infographies. Tant de éventualités pour rendre ce rapport lisible, stimulant et clair. L’ensemble amène à une compréhension et une analyse abondamment plus aisées pour les entreprises. Le but est également de donner aux utilisateurs des informations d’un coup d’oeil et abordables à tous les collaborateurs, afin d’être plus professionnel dans son domaine d’activité et sa profession.

L’utilisation de la BI au quotidien pour les sociétés

La BI est dorénavant un mécanisme clé pour les entreprises. C’est le travail collaboratif qui collabore fortement à la BI pareillement. Le plus grand défi est de faire circuler des informations de qualité et surtout importantes au sein d’une société, tout cela de manière simple et brève.

 

Acronis ouvre sa plateforme et ses API aux développeurs tiers

Jusque-là, l’éditeur spécialisé dans la préservation ne délaçait ses API qu’à ses associés proches. Aussitôt, Acronis les rend abordables à tous les développeurs ordonnant assimiler ses solutions d’appui et de back-up à leurs applications métiers.

Acronis ouvre sa plateforme et ses API aux développeurs tiers, leur acceptant ainsi de créer et assimiler des applications métiers ou tierces aux solutions d’assistance de données et de sauvegarde de l’éditeur. Cet accès de ses technologies n’était avant autorisée qu’à certains de ses intégrateurs et partenaires les plus proches, comme ConnectWise, Microsoft et Google Cloud. Les ISV et OEM sont aussitôt inclus dans la boucle.

Les API sont offertes sous forme de kit de développement (SDK) et un échantillon de code couvrant les services de sauvegarde, de synchronisation et de partage de fichiers et de reprise après sinistre. La plateforme sera retouchée et intègrera d’autres API au moment de la convention annuelle d’Acronis, aux Etats-Unis, en octobre prochain. L’éditeur en profitera pareillement pour surfer sur la tendance à l’unification des solutions de sécurité, en lançant Total Protect qui promet de allier les capacités de sauvegarde, de cybersécurité et des gestions des systèmes au sein d’une même solution.

Entre autres annonces, Acronis met à jour son Data cloud, qu’il rebaptise Acronis Cyber pour l’occasion. La solution prend dorénavant en charge la sauvegarde de la G Suite de Google et offre une protection contre les crypto-mineurs. Cet accroissement des fonctionnalités reliées à Google Cloud interviennent un an après son assimilation chez l’éditeur de solutions de back-up.

La 5ème version du langage Swift d’Apple

L’ultime version de Swift, le langage de programmation de MacOS et iOS, admet de créer des apps plus légères et offre une interopérabilité optimum.

Apple a édité son langage de programmation Swift 5 avec une Application Binary Interface (ABI ou interface binaire-programme) et une compatibilité binaire qui, selon lui, admettront de développer des applications de plus petite taille. Cette version progresse aussi l’interopérabilité avec d’autres langages. Avec cette mise à niveau, l’ABI est fixe sur les plates-formes Apple, de sorte que les bibliothèques Swift sont aussitôt intégrées à toutes les futures versions de MacOS, iOS, WatchOS et TVOS. Comme les développeurs n’auront plus à inclure ces bibliothèques, les apps seront désormais plus légères et plus faciles à engendrer.

Parmi les autres innovations de Swift 5, les types appelables dynamiquement sont pris en charge pour améliorer l’interopérabilité avec des langages comme JavaScript, Python et Ruby. Par défaut, cette version 5 impose l’accès exclusif à la mémoire pour les builds de version et de débogage afin de progresser la sécurité du langage. Swift 5 offre une réimplémentation de String, de nouveaux types de données et un accès exclusif à la mémoire durant l’exécution. Dans la bibliothèque standard, String a été remis en oeuvre avec l’encodage UTF-8 au lieu de l’UTF-16, ce qui peut empresser le code. L’interopérabilité Objective-C est préservée.

Éventualité de créer des chaînes brutes

Swift 5 progresse les délimiteurs littéraux de chaînes de caractères pour prendre en charge le texte brut. Les chaînes de caractères multilignes et à ligne unique sont appuyées et peuvent contenir n’importe quel contenu. Dans un billet, le développeur Paul Hudson, qui anime le site Hacking with Swift, souligne l’intérêt de créer ainsi des chaînes brutes (raw strings) où les barres obliques inverses et les guillemets sont interprétés comme des symboles littéraux plutôt que comme des caractères d’échappement ou terminant une chaîne. « Cela facilite un certain nombre de cas d’utilisation, mais ce sont les expressions uniformes qui en bénéficieront », estime-t-il. Par ailleurs, les propriétés Unicode pour prendre en charge les traitements de texte courants et avancés sont ajoutées au type Unicode.Scalar. Pour les vecteurs SIMD (instruction unique, données multiples), la bibliothèque expose un sous-ensemble d’opérations sur les types SIMD consolidés par la plupart des processeurs de la bibliothèque.

Des progrès de performance ont été apportés au Dictionnaire et au Set. On trouve aussi l’ajout d’un type Result, pour progresser la gestion des erreurs. Le gestionnaire de paquets Swift Package Manager possède des paramètres de construction spécifiques à la cible, la mise en miroir des dépendances, des cibles de déploiement personnalisées et la possibilité d’engendrer des données de couverture de code. Enfin, la commande swift run admet d’importer des bibliothèques dans une boucle read Eval – print (REPL) sans avoir à bâtir un exécutable. Les binaires Swift pour Linux sont téléchargeables sur Swift.org. Le langage fait également partie de l’IDE Apple Xcode 10.2, accessible sur Mac App Store d’Apple.

Microsoft Research présente son tout nouveau langage de programation « Bosque »

Selon les informations initiales, Bosque serait en quelque sorte un assortiment entre Meta Language, Node.js, et TypeScript. Mark Marron, un chercheur en informatique œuvrant pour Microsoft, décrit Bosque comme un langage innovateur, offrant une version évoluée des modèles modernes très organisés. Il déclare : « Ce modèle se fonde sur les succès de la programmation structurée et les types de données abstraites en simplifiant les modèles de programmation existants en une forme organisée qui écarte les principales sources d’erreurs, simplifie la compréhension du code et la modification, et convertit les tâches de argument automatisé sur le code en propositions futiles. »

Voici un modèle de ce à quoi peut ressembler la syntaxe Bosque. On se rend compte qu’elle apparente certainement au JavaScript. Cet exemple présente l’égalent d’une boucle for en JS. Les doubles slashs font office de commentaire.

Le dépôt GitHub consacré à Bosque met à disposition une multitude d’autres exemples. Nonobstant, Bosque n’est pas encore en dernière version. Ses créateurs recommandent de ne pas l’user de suite dans le cadre de projets centraux. Cela dit, Microsoft invite certainement les développeurs à l’étudier par curiosité ou pour des projets ayant moins d’envergure.

HPE achète BlueData, un expert de l’IA et de l’analyse Big Data

HPE annonce ce mardi la signature d’un accord définitif portant sur l’acquisition de BlueData, un éditeur de logiciels d’analyse Big Data et d’intelligence artificielle/machine learning, un marché adressable qui pourrait toucher 160 milliards de dollars en 2022 selon le fabricant.

L’acquisition devrait être achevée au cours du premier trimestre d’HPE qui se clôturera le 31 janvier prochain. Les conditions financières de l’opération ne sont pas dévoilées.

Fondée en 2012, BlueData est une société privée basée à Santa Clara qui compte Citi, GlaxoSmithKline, Nasdaq et Macy’s parmi ses clients. Sa plateforme logicielle se base sur les conteneurs pour faciliter et rentabiliser le déploiement d’environnements d’analyse à grande échelle et d’apprentissage Big Data. En associant de manière compréhensible la plateforme à l’infrastructure définie par logiciel existante d’HPE, la firme de Palo Alto souhaite offrir une solution complète et facile à mettre en œuvre pour l’analytique AI / ML et Big Data permettant aux clients de réduire considérablement leurs coûts d’infrastructure.

D’après HPE, la technologie de BlueData permettra à ses clients de lancer des environnements AI / ML et Big Data conteneurisés en quelques minutes, grâce à une expérience en tant que service, de bénéficier de l’agilité et de l’efficacité offerte par les conteneurs Docker, tout en garantissant des performances comparables à celles des déploiements sans système d’exploitation traditionnels. Elle permettra également de déployer rapidement des applications d’analyse des données AI / ML et Big Data sur site, dans un modèle multicloud ou dans une architecture hybride tout en fournissant la sécurité de niveau entreprise nécessaire pour protéger les données.

« BlueData a développé une solution innovante et efficace pour résoudre les problèmes auxquels toutes les entreprises sont confrontées lors de la planification, de la mise en œuvre et du déploiement de l’intelligence artificielle/machine learning et de l’analyse de données volumineuses. L’ajout de la plateforme logicielle complémentaire de BlueData aux systèmes Apollo et aux services professionnels d’HPE, leader du marché, est conforme à la stratégie d’HPE axée sur les données et permet à nos clients d’extraire des informations des données, que ce soit sur site, dans le cloud ou dans une architecture hybride », explique dans un communiqué Milan Shetti , vice-président directeur et responsable de l’unité commerciale mondiale Stockage et Big Data chez HPE. « Nous sommes ravis de la valeur importante que nous pouvons offrir à nos clients en travaillant avec la talentueuse équipe de BlueData. »