Le chef de l’État installe un « conseil présidentiel » chargé de l’éclairer sur la marche de la science, et donne dix-huit mois aux organismes et aux universités pour « remettre de la clarté » dans le pilotage du monde scientifique.
Aucune plainte n’a été déposé, ni par le directeur de l’Mnstitution ni par sa compagne, qui s’accusaient réciproquement de violences conjugales.
Malgré une inscription dans une université française, de nombreux Burkinabés, Maliens et Nigériens ont dû renoncer. Paris se défend de toute une mesure de rétorsion.
Le dialogue avec les autres sciences est une clé de lecture de l’œuvre d’Emmanuel Le Roy Ladurie, disparu le 22 novembre, et qui s’est attaché à offrir une vision globale de l’histoire comme science sociale sans fuir le débat avec les marxistes, rappelle, dans une tribune au « Monde », l’historien Mathieu Arnoux.
Après la mort de l’historien Emmanuel Le Roy Ladurie, son confrère rappelle dans une tribune au « Monde » le rôle fondateur qu’il joua pour retracer l’histoire des grands événements météorologiques, celle des tempêtes et des changements climatiques.
Dans une tribune au « Monde », à l’initiative du collectif Ecopolien – un « atelier d’écologie politique francilien » regroupant des membres de l’enseignement supérieur et de la recherche –, des universitaires répondent à l’appel pour un « projet Manhattan de la transition écologique » signé le 25 septembre par plusieurs de leurs collègues.
Pour éviter les désillusions et le risque d’écoanxiété dans les métiers engagés dans la transition écologique, certaines formations misent sur le développement de l’esprit critique des étudiants.
Plutôt que de placer l’université au rang des causes perdues, mieux vaudrait clairement séparer la question de la professionnalisation dans l’enseignement supérieur et celle de l’échec des étudiants en licence.
Deux enquêtes préliminaires sont ouvertes impliquant Frédéric Miranville, président de l’établissement depuis 2016, sur des faits de harcèlement moral et sur la rémunération attribuée à certains enseignants.
Le texte, remis à la ministre de l’enseignement supérieur Sylvie Retailleau en juin et que « Le Monde » s’est procuré, préconisait notamment d’allouer 500 euros aux nouveaux entrants. Une mesure qui n’a pas été retenue.