Vde.plus les avantage pour trouver rapidement un travail avec un très bon salaire

Vde.plus  les avantage pour trouver rapidement un travail avec un très bon salaire

Vde.plus : Une passerelle vers une carrière professionnelle réussie

Êtes-vous un jeune diplômé enchaînant les entrevues sans succès ? Se lancent dans le monde de l’emploi peut s’avérer difficile et intimidant, surtout sans expérience professionnelle à votre actif. C’est là que Vde.plus intervient. En tant que plateforme d’accompagnement et de mise en relation entre les entreprises et les talents en herbe comme vous, Vde.plus s’érige comme un acteur de référence pour familiariser les jeunes diplômés avec le monde du travail.

En effet, ce qui différencie Vde.plus des autres plateformes, c’est son engagement à accompagner les jeunes dans leur démarche d’insertion professionnelle. Il ne s’agit pas simplement de vous trouver un job, mais plutôt de vous aider à bâtir une carrière. Grâce à son expertise en matière de recrutement, Vde.plus est capable de vous connecter à des opportunités emploi en adéquation avec vos aspirations de carrière et vos compétences.

En outre, Vde.plus mis en place une méthodologie unique qui non seulement évalue votre potentiel, mais vous donne aussi les outils nécessaires pour le déployer pleinement sur le marché du travail. Et la meilleure partie ? L’expérience Vde.plus est conçue pour vous aider à obtenir un salaire compétitif qui valorise votre diplôme et vos compétences. Vous ne verrez plus jamais le monde de l’emploi de la même manière.

Si vous cherchez à donner un coup d’accélérateur à votre carrière professionnelle, ne cherchez pas plus loin. Vde.plus est fait pour vous.

Le potentiel inexploité des jeunes diplômés sur le marché de l’emploi

Arriver sur le marché du travail après l’obtention de son diplôme peut sembler un peu comme se jeter dans la gueule du loup. Dans un monde professionnel de plus en plus exigeant, les jeunes diplômés se retrouvent souvent face à un double défi. D’une part, ils doivent prouver qu’ils ont acquis les compétences et les connaissances nécessaires lors de leur formation. D’autre part, ils doivent montrer qu’ils sont capables de les appliquer de manière efficace en milieu professionnel. Cela peut être un véritable parcours du combattant et nombre d’entre eux se sentent insuffisamment préparés pour affronter ce nouveau défi.

A cela s’ajoute le dilemme de l’emploi. Il est assez courant que les jeunes diplomés soient confrontés à une impasse: les postes à pourvoir demandent une expérience que, par définition, ils n’ont pas encore eue. Face à de tels obstacles, il n’est pas rare que le désenchantement s’installe chez ces jeunes pleins d’énergie et de potentiel, faute d’opportunités.

C’est là qu’intervient Vde.plus. Nous comprenons les défis auxquels vous êtes confrontés. Notre objectif, c’est de transformer ces défis en opportunités. Permettre que ce potentiel inexploité serve de tremplin vers une carrière réussie. Avec Vde.plus, terminé le stress de la recherche d’emploi sans fin, la peur de ne pas être à la hauteur, le doute sur votre avenir professionnel. Vous êtes mis en relation avec des entreprises qui valorisent votre profil, votre compétence, et vos aspirations.

L’avantage de Vde.plus c’est que nous fournissons un cadre d’apprentissage pratique où les jeunes diplômés peu ou pas expérimentés sont formés et subissent des transformations intégrées qui les préparent à l’emploi. Nous sommes conscients de la pression qu’implique le besoin de trouver rapidement un emploi après l’obtention du diplôme. Chez Vde.plus, nous faisons tout pour alléger ce fardeau. Nos méthodes uniques sont conçues pour structurer votre entrée dans le monde professionnel et pour garantir une transition réussie de la vie étudiante à la vie active.

Ainsi, Vde.plus est l’outil indispensable pour tout jeune diplômé qui souhaite accéder rapidement et efficacement au marché du travail. Alors, êtes-vous prêt à exploiter votre plein potentiel?

Les armes pour une carrière professionnelle épanouissante

Recherche d’emploi, salaire, satisfaction professionnelle; autant de critères qui occupent l’esprit des jeunes diplômés. Et c’est là que vde.plus intervient, pour apporter des réponses concrètes à ces préoccupations.

Employeur de choix pour de nombreux lauréats, vde.plus offre une expérience de travail inégalée. Il s’engage à fournir un environnement de travail stimulant qui favorise la croissance et le développement, et ce, en adéquation avec les ambitions professionnelles du candidat. Cette promesse s’accompagne aussi d’une rémunération attractive qui répond aux standards du marché.

L’un des plus grands avantages de rejoindre vde.plus est l’opportunité de booster sa carrière rapidement. Grâce à son réseau d’entreprises partenaires, chaque lauréat a une chance de travailler sur des projets stimulants et d’enrichir son expérience professionnelle. En d’autres termes, vde.plus est le tremplin parfait pour décoller dans le monde professionnel et marquer son empreinte.

Qui plus est, vde.plus prend également en charge la formation initiale des candidats retenus. L’objectif : offrir les qualifications nécessaires pour occuper des postes clés dans des entreprises de renom. Préparez-vous à une immersion totale dans le monde de l’entreprise, à des cours intensifs, des sessions de coaching et des ateliers de travail collaboratif. Sept à huit semaines après le début de la formation, vous serez prêts à intégrer votre poste et à travailler efficacement.

D’autres avantages, tels que des opportunités d’avancement de carrière internes, le renforcement des compétences en leadership et l’exposition à des projets à forte valeur ajoutée, font de vde.plus une option intéressante pour les jeunes diplômés qui recherchent plus qu’un simple emploi.

En somme, vde.plus est un formidable atout pour les jeunes diplômés en quête d’une carrière épanouissante. Sa promesse ? Transformer votre potentiel en une réalité professionnelle réussie.

Les questions que vous pouvez vous poser sur Vde.plus

En tant que jeune diplômé, vous pouvez avoir certaines interrogations, voir même des incertitudes, concernant le service de Vde.plus. Et c’est tout à fait normal! Il est crucial d’obtenir toutes les informations nécessaires avant d’entreprendre une carrière. Laissez-nous donc répondre à certaines des questions les plus posées.

Comment fonctionne Vde.plus ?

Vde.plus est une plateforme innovante, un véritable outil pour trouver un emploi qui correspond à vos compétences et à vos ambitions. Son algorithme de match intelligent fait le gros du travail, il relie les employeurs aux candidats basé sur un large éventail de critères. Cela comprend non seulement le domaine d’études et les compétences spécifiques, mais également les aspirations et la personnalité du candidat.

Quels sont les coûts associés à l’utilisation de Vde.plus ?

La beauté de Vde.plus est qu’il est entièrement gratuit pour les candidats. Son principal objectif est d’aider les jeunes diplômés à décrocher un emploi qui non seulement leur permettra de gagner un salaire compétitif, mais également de se développer et de s’épanouir dans leur domaine de compétence.

Quels types d’emploi puis-je décrocher avec Vde.plus ?

Peu importe le domaine d’études que vous avez choisi, Vde.plus a une offre variée d’emplois disponibles. Que vous soyez dans le secteur des technologies, du marketing, de la santé, ou de l’éducation, vous trouverez des opportunités qui s’alignent avec votre parcours et vos ambitions.

Comment Vde.plus assure-t-il un salaire compétitif?

Avec Vde.plus, vous avez la garantie d’un salaire compétitif. C’est grâce à son partenariat avec des entreprises de renom et son algorithme intelligent qui s’assure de vous mettre en relation avec des postes qui correspondent à votre niveau de compétence.

En résumé, Vde.plus est plus qu’un simple outil pour décrocher un nouvel emploi. C’est votre allié dans la construction d’un avenir professionnel réussi. Les jeunes diplômés en quête d’emploi n’ont pas à se perdre dans le processus de recherche d’emploi souvent long et épuisant. Avec Vde.plus, le chemin vers une carrière satisfaisante est efficace, rapide et récompensé par un salaire attractif.

Osez le succès avec Vde.plus

N’avons-nous pas tous rêvé d’un emploi qui non seulement nous offre un salaire satisfaisant, mais aussi un environnement propice à notre épanouissement professionnel et personnel? Les opportunités comme Vde.plus sont rares et c’est pourquoi vous ne devriez pas hésiter à saisir cette chance.

Chez Vde.plus, nous croyons fermement que chaque jeune diplômé mérite d’avoir un emploi gratifiant, qui valorise ses compétences, son intelligence et sa capacité de travail. C’est là que réside le vrai pouvoir de Vde.plus. En vous préparant de manière optimale pour le monde professionnel, nous vous donnons la confiance nécessaire pour décrocher l’emploi de vos rêves.

Ne laissez pas la peur de l’inconnu vous guider. Osez le succès. Osez Vde.plus. Rien ne peut remplacer l’expérience que vous acquirez en travaillant sur des projets réels, avec de vrais clients. C’est cela l’aventure Vde.plus. Un tremplin pour lancer votre carrière, une école pour vous initier à l’emploi et un partenaire pour forger votre avenir professionnel.

En conclusion, si vous voulez débuter votre carrière avec un emploi valorisant, Vde.plus est la solution idéale. Lancez-vous maintenant ! C’est le moment idéal pour postuler sur notre plateforme et passer à la vitesse supérieure. Rappelez-vous : avec Vde.plus, vous n’êtes pas seulement un salarié, vous êtes un souffle de renouveau prêt à impacter le monde professionnel.

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« Le vrai coup de stress », c’est Parcoursup, plus le bac

La session du bac 2019 lundi. Mais la vraie escale de défi, pour les élèves de terminale, est dorénavant le sort fait à leurs vœux pour la suite de leurs études.

Les ajustements de l’après-bac sont-ils en train de dissimuler le bac ? La question peut paraitre pénible, à deux jours de l’ouverture de la session 2019 de l’examen de fin de lycée. Elle s’inflige malgré cela, à entendre ceux qui sont pris entre ces deux étapes.

Mercedes, 19 ans, en terminale littéraire, en nomment. Le « vrai coup de stress », elle l’a éprouvé il y a tout juste un mois, à l’annonce des premiers résultats sur Parcoursup, la plate-forme d’accès dans l’enseignement supérieur. Son acceptation en droit, à l’université parisienne d’Assas, a « soulagé » la lycéenne de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). « Depuis, le bac n’est pas une obsession. »

Yann, lycéen marseillais, communique lui également avoir « moins d’intérêt pour le bac », mais pour une tout autre raison. Ce que le jeune homme en terminale technologique veut « à tout prix », c’est un DUT. Depuis le 15 mai, il s’est amélioré dans la liste d’attente de la 60e place à la 29e. Mais ces derniers jours, son emplacement stagne et son angoisse se concentre là-dessus. « Evidemment, je ne suis pas très motivé pour le bac », s’agace ce jeune homme de 17 ans. Pour libérer l’esprit des candidats, il a été déterminé de mettre à l’arrêt la machine Parcoursup durant une semaine, jusqu’à la fin des épreuves écrites.

Le jugement des formations

« Parcoursup, pour moi, c’est vraiment le plus important, déclare aussi Sandy, élève en Seine-Saint-Denis, qui a obtenu sa place en licence d’administration économique et sociale. Cela détermine ce que tu vas faire de ta vie. »

Chez Mercedes comme chez Yann ou Sandy, l’identique constat : le mois qui vient de circuler représente le moment d’évaluation le plus pénible de leur scolarité. Quatre semaines durant lesquelles ils se sont testés face au verdict des formations : « admis », « en liste d’attente », « refusé ».

« Suis-je assez autonome pour réussir à l’université ? Est-ce que je ne préférerais pas le cadre d’une prépa ? », se demande Mercedes, qui retient, en plus de la fac, ses vœux en attente en classes antérieurs. « Pourquoi, avec 13/20 de moyenne générale, n’ai-je pas obtenu la formation de mes rêves quand un camarade avec des moins bonnes notes l’a décrochée ? », se demande Yann.

« Pourquoi ne suis-je pris nulle part ? » : cette question retentit chez certains lycéens. Ils étaient, à la veille du bac, environ 15 % des 640 000 lycéens notés sur la plate-forme à n’avoir reçu aucune réponse adaptée. Soit près de 100 000 jeunes, refusés partout ou sur liste d’attente. Ce chiffre ne prend en compte que les élèves de terminale, pas les étudiants en réorientation ou les candidats en reprise d’études.

L’enseignement de l’italien en France

Il y a cinq cents ans décédait Léonard de Vinci. Mais la célébration que la France prépare avec l’Italie survient alors que le transformation Blanquer assène un dur coup à l’enseignement de l’italien, déplore un collectif d’universitaires dans une tribune au « Monde ».

Tribune. On nous annonce que le 2 mai le président de la République française recevra à Amboise M. Sergio Mattarella, président de la République italienne, pour commémorer le cinquième centenaire de la mort de Léonard de Vinci (1452-1519). On peut certes voir là un geste d’apaisement entre France et Italie, après ces derniers mois tumultueux. Si ce n’est que, en même temps que s’annoncent ces festivités, le ministre de l’éducation nationale aménage de son côté l’asphyxie de l’enseignement de l’italien en France.

En deux ans, M. Blanquer a partagé par deux le nombre de postes à l’agrégation externe d’italien avec, en 2019, un nombre insignifiant, sinon humiliant, de cinq postes, tandis que le capes passe amplement sous la barre des vingt postes (contre vingt-huit en 2018 et trente-cinq ou plus les années précédentes), alors même que non uniquement la demande dans l’enseignement secondaire ne décroît pas mais que des cohortes d’étudiants commencent l’italien à l’université (plus de mille à Aix-Marseille, Montpellier, Paris-I, Toulouse, etc.) faute de n’avoir pu l’adopter au collège ou au lycée !

La réforme Blanquer, qui détruit le coefficient de la LV3 (désormais LVC) pour nos très nombreux élèves, assène un coup mortel à l’enseignement de l’italien en France alors que l’Italie reste le deuxième partenaire commercial de la France, offrant de vraies visions sur le marché de l’emploi.

Claude Hagège, Thomas Dutronc, Julie Gayet

Geste d’atténuation ou mascarade politique ? Plusieurs personnalités du monde de l’art et de la culture, comédiens, écrivains, journalistes et intellectuels, comme Jeanne Balibar, Andrea Camilleri, Luciano Canfora, Emma Dante, Gérard Darmon, Thomas Dutronc, Julie Gayet, Stéphane Guillon, Claude Hagège, Michel Pastoureau, Ernest Pignon-Ernest, etc. ont signé notre appel en ligne pour que l’amitié franco-italienne soit une réalité politique, pour que le nombre de postes aux concours retrouve sa dignité nationale, et pour que l’enseignement de l’italien soit appuyé comme enseignement de spécialité avec des moyens spécifiques.

Dira-t-on, le 2 mai, qu’il existe des départements français entiers où aucun établissement public du secondaire n’offre pas l’enseignement de l’italien ? Célébrera-t-on Léonard de Vinci au mépris de la langue de Dante, de Machiavel, de Galilée, de Verdi ou d’Umberto Eco ? Se recueillera-t-on sur la tombe du « génie » en songeant que l’on tente d’effacer subrepticement dans les couloirs d’un ministère une partie de notre richesse et de notre histoire communes ? Chantera-t-on l’amitié fraternelle de nos deux nations quoique que M. Blanquer concocte son sinistre fratricide ?

« La cession d’entrée direct aux grands corps est un point de passage exigé »

Enarque et historien, Marc-Olivier Baruch propose, un changement en cinq clés de l’Ecole nationale d’administration pour initier la haute fonction publique à l’entreprise qu’elle est censée administrer.

Il se trouve que j’ai approximativement tout fait à l’Ecole nationale d’administration (ENA) : j’y suis (simplement) entré fin 1978 et en suis (mal) sorti trente mois plus tard, après une scolarité sans intérêt. J’y ai noté l’histoire administrative au début des années 2000 (discipline non notée et donc peu prise au sérieux par les élèves les mieux adaptés), au début deux jours par an, puis deux heures. J’ai arrêté cet enseignement avant qu’on ne me sollicite d’y dédier deux minutes… J’ai également été vice-président des concours d’entrée de 2010, ai siégé au comité de rédaction de la revue d’administration publique de l’ENA et collaboré à son comité d’histoire, qui produit de fort riches (mais peu lus) Cahiers [Cahiers pour une histoire de l’ENA] exprimant l’institution, promotion par promotion.

L’histoire, exactement, en dit beaucoup sur l’institution. Elle articule certes les audaces mais aussi les fissures initiales d’un projet qui n’était que relativement modernisateur. Le général de Gaulle de 1945 savait trop avoir besoin de l’appareil d’Etat pour en secouer les élites – dont il connaissait pourtant, mieux que personne, la conduite, peu engageant et peu engagé, durant les années de guerre et d’occupation.

Dès 1945, alors que se bâtit l’ENA, le ministère des finances ne se rassemble au projet de corps commun des administrateurs civils qu’à la condition que ceux servant dans ses rangs continueront à bénéficier d’un régime compensatoire favorisé, faute de quoi, face à l’aridité de la matière qui s’y trouve traitée, il risquerait de se voir déserté.

Un essai de découpe de poulet rôti

Dans ce domaine où les techniciens hors pair de la gestion administrative connaissent si bien énucléer la volonté réformatrice du politique – Nicolas Sarkozy, homme volontaire s’il en est, ne parvint pas à effacer le classement de sortie –, la loi doit poser des principes forts. Nous proposons cinq clés pour ouvrir la haute fonction publique à la société qu’elle a appel à diriger.

La première comporte à effacer les crises structurelles entre les métiers auxquels destine l’ENA. Nul n’irait consciemment manier des liasses de pièces comptables ou s’adonner au contentieux fiscal s’il ne savait que, très vite, son appartenance à la Cour des comptes ou au Conseil d’Etat serait pour lui, après un tout petit nombre d’années, un énergique accélérateur de carrière.

La cession de l’accès direct aux grands corps, comme l’harmonisation des régimes compensatoires entre ministères, est donc un point de passage obligatoire d’une telle réforme. Changements qui ne sont guère coûteuses budgétairement, mais dont les auteurs seront vus comme traîtres à leurs corps, ce qui les inquiéta longtemps.

L’augmentation discutée des coûts d’immatriculation des étudiants étrangers éditée au « Journal officiel »

Certaines facultés françaises ont fait savoir qu’elles n’apposeraient pas le changement.

L’augmentation des coûts d’inscription universitaires pour les étudiants non-européens entrera en vigueur à la rentrée de l’année, selon deux textes diffusés dimanche 21 avril au Journal officiel, bien que l’appel contre cette mesure gouvernementale.

Selon l’arrêté du ministère de l’enseignement supérieur, les étudiants extra-européens nécessiteront avoir de 2 770 euros en licence et de 3 770 euros en master. Des montants plus de dix fois supérieures à celles que doivent payer leurs copains de l’Union européenne (UE). Celles et ceux qui ont déjà commencé leurs études en France ne sont toutefois pas intéressés par cette augmentation.

Le décret edité dimanche liste aussi une série de cas pour lesquels les étudiants venant de pays en dehors de l’UE pourraient être exemptés, particulièrement en raison de leur « situation personnelle » ou s’ils répondent « aux orientations stratégiques de l’établissement ».

Risque de coupure

L’augmentation ne s’apposera par ailleurs pas aux doctorants étrangers, avait pareillement accordé la ministre de l’enseignement supérieur Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur, fin février. Elle avait en revanche dominé d’augmenter le pourcentage d’étudiants que chaque université peut décider d’exonérer de frais, maintenant fixé à 10 % par un décret datant de 2013. Un taux qui devrait permettre à tous les établissements qui le souhaitent, d’après les calculs du ministère, de s’exempter de frais l’ensemble de leurs nouveaux étudiants étrangers à la prochaine rentrée, mais pas les années suivantes.

Depuis son déclaration par le premier ministre Edouard Philippe, en novembre 2018, l’augmentation de frais universitaires fait l’objet d’une forte opposition, dans la communauté universitaire. Ses détracteurs examinent que son instauration revient à ériger un « mur de l’argent » frappant les étudiants étrangers les moins fortunés. Le gouvernement assure de son côté que la mesure admettra de affermir l’attractivité de la France et de financer des bourses additionnels.

Autres universités ont fait savoir qu’elles n’apposeraient pas cette augmentation, en utilisant la possibilité de dispenser de frais une partie de leurs étudiants. A la mi-mars, un exposé parlementaire a conclu que cette mesure faisait courir « un risque réel de décrochage sur le court terme » pour l’attractivité des universités françaises.

Augmentation des tensions dans les universités

L’obstacle de la pièce de théâtre « Les Suppliantes », d’Eschyle, à la Sorbonne, par des partisans de la cause noire est symbolique du développement de ces crispations.

Encoche énormément à la liberté d’expression, contresens, survenue d’une nouvelle sanction au nom d’un politiquement correct devenu absurde… Depuis le blocage de la pièce de théâtre Les Suppliantes, d’Eschyle, lundi 25 mars à la Sorbonne, par des partisans de la cause noire et des étudiants révoquant le racisme dont la mise en scène était à leurs yeux coupables, en raison des masques sombres des acteurs, les réactions pleuvent. Mais pour ceux qui travaillent au quotidien dans les universités, cet incident ne vient pas de nulle part. Il apparaît comme la manifestation extrême d’une série de problèmes qui se développent depuis plusieurs années.

Les thématiques autour de l’identité, qu’il se réalise du genre, de la religion ou encore de la « race », sont sources de crispations, dans les universités, depuis actuellement plusieurs années. Particulièrement dans les facs de sciences humaines, en première ligne sur ces sujets, qui mettent « tout le monde un peu mal à l’aise », admet un universitaire.

« Le climat est difficile sur ces questions à l’université, comme c’est le cas dans toute la société », conclu Hervé Christofol, secrétaire général du Snesup-FSU, l’un des deux principaux syndicats de personnels de l’enseignement supérieur. « Il y a constamment eu une contestation du discours universitaire, des accusations de parti pris idéologique… Ce sont les objets qui changent avec les époques, et aujourd’hui, cela se concentre sur les questions de repli identitaire », poursuit Alain Tallon, doyen de la faculté des lettres de Sorbonne université, qui compte reprogrammer la pièce de théâtre en mai. Dans son établissement, l’historien décrit ces problèmes comme un phénomène « très ponctuel ».

A l’université de Paris-Nanterre, le président Jean-François Balaudé a aussi vu émerger de telles angoisses : « Il y a une sensibilité qui émane d’associations étudiantes, très minoritaires, qui portent des revendications fortes en termes de lutte antiraciste et qui, pour quelques-unes, ont tendance à faire une lecture raciale des politiques que conduisent les universités. » Lorsque l’université ne répond pas à une demande de locaux pour un événement ou un débat, elle est tout de suite « suspectée de complaisance envers les discriminations », déclare-t-il.

La MBA n’est plus favorisée des américains

Après des années d’accroissement, l’illustre formation de Master of Business Administration subit un désintéressement remarquable aux Etats-Unis, particulièrement de la part des étudiants étrangers, au profit de l’Asie et de l’Europe.Amy Nelson a vécu dans une petite ville perdue du Midwest, près de Saint-Louis (Missouri), éduquée seule par sa mère. Mais elle a abandonné l’Amérique profonde : après des études en Californie et un début de carrière dans des ONG, la jeune femme a fait un Master Business of Administration (MBA) à la prestigieuse New York University (NYU), à Manhattan, en 2011 et 2012.

Rêve américain

Amy Nelson exprime ce rêve américain que l’on dit moribond. Malgré cela, elle pousse un coup de gueule contre le système qui lui a autorisé de s’en sortir. Six ans après son diplôme, endettée à hauteur de 250 000 dollars (soit plus de 220 000 euros), elle s’en prend au système des MBA.

Bien sûr, elle a eu droit à une bourse la première année, de 40 000 dollars approximativement. Mais elle n’a pas réussi à le décrocher pour la seconde année, alors que les frais de scolarité sont de 70 000 dollars par an. Il a fallu payer le loyer à Brooklyn, la garde de ses deux enfants, qu’elle élevait seule à l’époque, et voilà comment elle s’est perçue serrée jusqu’au cou.

250 000 dollars, c’est énorme, mais pas rare. La carrière d’Amy Nelson a bien amélioré : entrée en 2013 avec un salaire de 90 000 dollars annuel dans une ONG de 35 salariés, Venture for America, qui aide les entrepreneurs à se jeter dans les zones désavantagées des Etats-Unis, comme Detroit et La Nouvelle-Orléans, elle en est changée directrice générale et touche 200 000 dollars par an.

Un rémunération important qui ne lui permet pas pour autant de payer sa dette et qui est sans commune mesure avec les salaires de ceux qui ont choisi la voie royale après les MBA, entrant chez Goldman Sachs (finance), McKinsey (stratégie), Procter & Gamble (marketing) ou Amazon (technologie), des entreprises qui recrutent sur les campus, quelquefois même avant la rentrée scolaire.

 

Une femme à la tête des concours d’entrée de l’ENA

Isabel Marey-Semper, ancienne de chez L’Oréal et PSA, va mener le recrutement de la glorieuse école. Un poste qui rentre traditionnellement à de hauts fonctionnaires.

Cela ne saute pas certainement aux yeux, mais c’est un petit changement. L’Ecole nationale d’administration (ENA), qui conduit aux grands corps de la haute fonction publique, a déterminé d’appeler pour 2019 Isabel Marey-Semper, 51 ans, comme présidente de jury des concours d’entrée. L’annonce a été faite le 8 mars, journée des droits des femmes. Jusque-là, rien d’étonnant. Entre 1991 et 2018, douze femmes ont été appelées à ce poste.

Sauf que Mme Marey-Semper ne coche aucune case du chemin habituel pour l’occuper : elle a fait toute sa carrière dans le secteur privé. Chez L’Oréal jusqu’en décembre 2017, où elle était membre du comité exécutif du groupe, directrice de la communication et des affaires publiques et directrice générale de la fondation, après être passée par PSA Peugeot Citroën ou encore Saint-Gobain. Quant à la partie académique de son CV : aucune trace d’un passage par l’ENA. Mme Marey-Semper est normalienne en biologie. Après une thèse en neuro-pharmacologie, elle a eu un MBA au Collège des ingénieurs.

 « Diversifier les concours »

Son profil est donc relativement inédit pour présider au recrutement de la prestigieuse école. Les présidents des jurys de concours de l’ENA sont traditionnellement de hauts fonctionnaires. Seuls certaines universitaires ont fait restriction ces trente dernières années – ainsi qu’un journaliste, en 2000. Cette nomination, du ressort du premier ministre et du ministère de l’action et des comptes publics, doit être diffusée au Journal officiel d’ici la fin du mois.

L’information, mise en ligne sur le site Acteurs publics, a fait résister sur les réseaux sociaux. Si la ministre de l’enseignement supérieur, Frédérique Vidal, s’est réjouie, le 11 mars sur Twitter, d’un « nouveau pas en faveur de l’ouverture progressive des grands corps », certains internautes ont plutôt ri jaune.

L’information, mise en ligne sur le site Acteurs publics, a fait réagir sur les réseaux sociaux. Si la ministre de l’enseignement supérieur, Frédérique Vidal, s’est ravie, le 11 mars sur Twitter, d’un « nouveau pas en préférence de l’ouverture progressive des grands corps », certains internautes ont plutôt ri jaune.

« L’ENA forme-t-elle encore pour le service public ? », s’est questionné un géographe. « Tant qu’on y est, faisons diriger les comités de sélection universitaires par des chefs d’entreprise ! », pouvait-on lire sur le compte de Frédéric Sawicki, professeur de science politique.

Une ironie qu’écarte d’un échec de main Patrick Gérard, directeur de l’ENA, chargé de proposer des noms pour cette fonction. « Nous avons une volonté très forte de diversifier les concours, explique-t-il. Choisir une personne issue de la société civile, du monde de l’entreprise, c’est aussi une réponse à une société française qui pense que l’ENA est une caste de hauts agents qui se reproduisent entre eux, je veux nier tout cela. » Un aspect qui va dans le même sens, pour lui, que l’accès cette année d’un quatrième concours de passage destiné aux docteurs.

La principale intéressée garantit elle aussi son « profil différent ».

« Oui, je n’ai pas fait l’ENA, mais j’ai une vision de scientifique et une habitude de conduite qui pourront être utiles dans le recrutement des futurs hauts fonctionnaires », réplique Isabel Marey-Semper.

« Quitte à faire de cette attribution un symbole, un autre aurait été plus innovateur, estime pour sa part l’énarque Christophe Strassel, chargé de la Prép’ENA à Sciences Po Lille. Dénommer un chercheur, pour présenter l’exigence de voir la recherche irriguer la formation de nos élites. »

 

Loi santé : les interrogations alentour de la fin des éclats clausus et de la Paces

Le plan de loi est examiné à partir de mardi 12 mars par la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale. L’objectif est de former plus de médecins.

La révolution qui s’apprête à l’entrée des études de santé est de taille. Abandon de la première année commune aux études de santé (Paces) d’un côté, cession du numerus clausus de l’autre, le nombre de places établi jusqu’ici par l’Etat pour rejoindre les études médicales, sur lequel buttent chaque année près de 80 % des 60 000 candidats… C’est pour mettre en œuvre, dès la rentrée 2020, cette promesse de campagne d’Emmanuel Macron d’en finir avec un système jugé « inefficace, injuste, et périmé » que le projet de loi « santé » a été bouclé en urgence. L’examen du texte, qui porte également sur l’organisation du système de santé, débute devant la commission des affaires sociales à l’Assemblée nationale, mardi 12 mars, avec déjà près de 1 500 amendements déposés.

Le volet employé à la réforme de la formation, qui vise à varier les profils des futurs médecins, récolte un large consensus dans le monde universitaire et médical. Mais la mise en œuvre d’un système périodique n’a rien d’évident. « Si nous sommes favorables à la fin du numerus clausus, nous ne connaissons pas les contours du système qui aura vocation à le remplacer, et beaucoup de questions se posent », s’est déjà alarmé le député communiste des Bouches-du-Rhône, Pierre Dharréville, lors de l’examen de la ministre de la santé, Agnès Buzyn, et de son homologue à l’enseignement supérieur, Frédérique Vidal, mardi 5 mars, à l’Assemblée nationale.

Une entente est en cours avec les universitaires pour installer ces éléments qui participeront en grande partie par décret.

« Mettre fin à ce système erroné est une très bonne chose, salue Pascal Roblot, doyen de la faculté de médecine et de pharmacie de Poitiers, mais il est clair que cela ne va pas être élémentaire. »

Installer 20 % de médecins en plus

Premier défi pour les facultés : aménager plus de futurs médecins. Elles pourront sitôt amener elles-mêmes leurs effectifs, en fonction des capacités des formations et des besoins de santé du territoire, « sur avis conforme de l’Agence régionale de santé », prédit le texte de loi, au « regard d’objectifs nationaux établis par l’Etat ». La ministre de la santé, Agnès Buzyn, a déjà fixé la barre haute, en rappelant une progression attendue de 20 %, alors que plus de 8 000 étudiants accèdent aujourd’hui en deuxième année de médecine.

Sur le sol, de Paris à Bordeaux en passant par Poitiers, on tempère déjà strictement l’ambition affichée de la ministre. Pas les capacités d’encadrement arrogantes, mais surtout, pas les terrains de stage pour les futurs étudiants, entend-on chez les doyens de médecine. Dès la troisième année, les études se développent pour partie à l’hôpital. « Que ce soit à l’hôpital ou en libéral, nous avons déjà de grandes difficultés pour trouver des stages, en tant qu’internes [entre la 7e et la 9e ou 11e année d’études] », souligne Antoine Reydellet, président de l’Intersyndicat national des internes, qui craint une « dégradation de la formation ».

Un problème de distribution, pas de nombre

Du côté des doyens, l’opportunité même d’une telle augmentation ne fait pas l’unanimité, alors qu’elle est régulièrement brandie dans les discours politiques comme une solution aux déserts médicaux. La députée LRM du Loiret, Stéphanie Rist, corapporteuse du projet de loi, estime ainsi que la convalescence d’une « offre » suffisante de professionnels de santé admettra de rééquilibrer les choses.

« Ce 20 % n’est absolument pas fondé », éloigne Patrice Diot, dirigeant de la faculté de médecine de Tours et président de l’Observatoire national de la démographie des professions de santé, qui appuie le risque de se regagner, dans dix ans, « dans la même situation que dans les années 1980, où l’on encourageait les préretraites des médecins, trop nombreux ». « Le problème en France, ce n’est pas le nombre, c’est la répartition sur le territoire », empêche-il.

Quels cursus pour faire médecine ?

Dorénavant, l’admission en médecine, odontologie, pharmacie et maïeutique sera inférieure à la « validation d’un parcours de formation antérieur dans l’enseignement supérieur et à la réussite à des épreuves, qui sont déterminées par décret en Conseil d’Etat », devine la loi.

Dans les universités, on aperçoit maintenant plusieurs schémas. Au premier rang desquels celui d’une première année de « portail santé », qui devrait admettre de traquer ensuite ses études dans d’autres cursus. En parallèle seraient développées des mineures santé dans d’autres licences, en biologie, droit, économie, acceptant, après deux ou trois années d’études, d’essayer sa chance pour rattraper les études médicales. Reste à expliquer les modalités de sélection, le gouvernement ayant déjà assuré qu’il devrait y avoir moins de QCM dans les épreuves et au moins un oral d’admission.

Mais les doyens de médecine plaident pour inscrire dans la loi ce « portail santé » pour maintenir une année d’études unique. Impossible de mettre en place deux années d’études en plus, comme le prévoit un cursus de licence, soutiennent-ils. Derrière cette question d’apparence technique, c’est aussi l’une des qualités peu avouables de la Paces qui apparaît au grand jour : celle d’être un système peu coûteux, avec des enseignements de masse délivrés à un grand nombre d’étudiants, notamment de manière dématérialisée.

Question de débouchés également : « Personne n’a jamais été capable de m’expliquer quels sont ces fameux métiers de la santé auxquels conduiraient des licences en santé », supporte Bruno Riou, à la tête de la faculté de médecine de Sorbonne université et de la conférence des doyens de santé d’Ile-de-France, région où quelque 5 000 étudiants auraient être concernés, d’après lui.

L’inquiétude du statu quo

« On voit bien le risque d’aboutir à une Paces-bis », accentue néanmoins Clara Bonnavion, présidente de l’Association nationale des étudiants en médecine de France, inverse au « portail ». Pour l’association, un garde-fou apparaît obligatoire pour échapper à cet écueil : immobiliser des pourcentages inévitables minimaux pour le nombre de places offertes par les différentes voies d’entrée. Le ratio de 60 % d’étudiants recrutés par le « portail », 40 % par les autres filières, présentement évoqué dans les concertations, lui semble une bonne solution.

Reste à voir s’il y aura suffisamment de candidats dans les cursus intermittents au « portail », pour garantir une équité entre les diverses voies d’accès. « Nous travaillons actuellement sur les effectifs qui auraient être absorbés dans les mineures santés, restitue Jean Sibilia, président de la conférence des doyens de médecine. Mais si on veut parvenir à personnaliser ainsi les parcours, en apportant des remises à niveau et des modules additionnels, cela ne pourra se faire sans moyens. »

 

 

Au Havre, une atmosphère « plus familiale » pour parvenir le concours de médecine

Pour varier les futurs médecins, l’université de Rouen a initié une antenne havraise qui reçoit 250 étudiants en première année commune des études de santé (Paces).

Pas un bruit dans les portées de l’amphithéâtre illuminé de l’université du Havre, hormis le craquement des ordinateurs de la centaine d’étudiants présents ce mercredi 27 février. Malgré cela sur l’estrade… personne. Seulement un écran sur lequel défile un plan de cours, et une voix qui bruissait, celle de leur professeure qui décharge son cours à Rouen, à une heure de là. « Madame Merle, moi, je ne sais pas à quoi elle ressemble », lâche en riant un étudiant.

Pas question pour autant de se dépenser : les cours magistraux relayés à distance en direct, c’est le quotidien des 250 étudiants inscrits dans l’antenne havraise de la Paces (première année commune des études de santé), décentralisée par l’université de Rouen depuis cinq ans. La grande ville de la pointe de Caux ne disposait pas jusque-là de filière conduisant à la médecine.

Alors que la mutation des études de santé, rédigée dans la loi santé dont l’examen débute en commission à l’Assemblée nationale le 12 mars, a pour objectif de varier les profils des futurs médecins, particulièrement en dispensant des cursus menant aux études médicales dans toutes les universités françaises, plusieurs d’entre elles ont déjà développé, ces dernières années, une dizaine d’antennes décentralisées dans des villes de taille plus réduite – l’université de Bordeaux à Pau, Dax (Landes), bientôt Agen, l’université de Poitiers à Angoulême, celle de Créteil à Torcy (Seine-et-Marne) et Sénart (Seine-et-Marne)… L’enjeu ? Lever les freins d’accès à ces études particulièrement sélectives – un quart des quelque 60 000 étudiants inscrits dans cette première année couperet passent le cap du concours pour rattraper les cursus de médecine, d’odontologie, de pharmacie, de maïeutique ou encore de kiné.