Parcoursup : le gouvernement fait son bilan et annonce des « ajustements » en 2019
La ministre de l’enseignement supérieur Frédérique Vidal a dressé un bilan positif de la première année de la nouvelle plate-forme d’admission dans le supérieur.
La ministre de l’enseignement supérieur Frédérique Vidal a dressé un bilan positif de la première année de la nouvelle plate-forme d’admission dans le supérieur.
Malgré une tendance à la hausse, les parcours anglophones restent peu nombreux dans les universités françaises.
Alors que le gouvernement s’apprête à améliorer Parcoursup, accusé de manquer de transparence quant à ses critères de sélection, zoom sur la Suède, où l’entrée à l’université dépend des résultats au lycée et d’un test d’aptitude national.
Alors que la nouvelle procédure d’admission dans l’enseignement supérieur a clos le 21 septembre, des pistes de réforme se dessinent, après les polémiques de l’été.
Deux étudiants et un ex-étudiant sont poursuivis pour violences envers des policiers, en avril, lors de la mobilisation contre la réforme créant Parcoursup.
Mettre fin au tirage au sort. Faire place au mérite. La « révolution de l’éducation » voulue par le président Macron s’est heurtée aux effets pervers de Parcoursup, la nouvelle plate-forme d’inscription à l’université, et à l’incompréhension des élèves.
Emmanuel Macron a présenté son plan santé pour réformer le système de soins. Les journalistes du « Monde » François Béguin et Camille Stromboni ont répondu aux questions des internautes.
Marc-Olivier Déplaude, chargé de recherche en sociologie à l’INRA, estime que « le système a volé en éclats avec la forte augmentation du nombre de médecins venant d’autres pays de l’Union européenne ».
Le gouvernement veut mettre fin à la première année « couperet » en faculté de médecine.
Dans une tribune au « Monde », Jean-Luc Dumas, ancien doyen de la faculté de médecine de Bobigny, considère que ce système de sélection est défaillant et qu’il faut l’adapter aux nouveaux enjeux de notre système de santé.