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les lasers dans la course aux débits de transmission

En 2010, selon le cabinet d’analystes IDC, le monde s’échangeait que deux zettaoctets de données numériques, soit l’équivalent de deux milliards de téraoctets ou environ 500 milliards de DVD ! En 2015, ce chiffre avait été multiplié par six.

Et une pause ne semble pas envisagée ! Selon le même cabinet, le volume mondial de données sera multiplié par 3,7 entre 2020 et 2025, puis par 3,5 tous les cinq ans jusqu’en 2035, soit plus de 2 100 zettaoctets.

Principale raison à cette exploitation de la data : le big data et l’ambition des entreprises d’analyser quasi en temps réel d’énormes volumes de données pour mieux appréhender les comportements de leurs clients et prospects.

Autre facteur : le succès du streaming vidéo (et bientôt, du jeu vidéo en streaming) avec les plateformes de VOD. Autre phénomène majeur : le succès de l’OTT (« Over The Top »). L’OTT permet de transporter des flux vidéo, audio ou des données sur Internet sans l’intervention nécessaire d’un opérateur.

Ondes acoustiques et lumineuses

Avant, il y avait celui qui avait les tuyaux (typiquement les opérateurs) et ceux qui avaient le contenu (en ayant décroché une exclusivité). C’est le business model de Canal+ (avec ses matchs de foots, la F1…) qui passait par différents « tuyaux » (câble, satellite…).

Ce business model a vécu. Maintenant, un opérateur peut lui-même commercialiser une exclusivité, par exemple la diffusion d’un championnat de foot. Un autre peut décrocher la diffusion sur internet d’un concert ou d’un tournoi de eSport…

Afin de répondre à cette forte croissance, des recherches sont menées depuis des années pour trouver une solution ultra rapide. Dans cette course à la vitesse, les systèmes de communication optique ont depuis longtemps la cote.

Elles permettent une transmission de données très rapide en envoyant des impulsions de lumière à travers une fibre optique au lieu d’utiliser un courant électrique pour transférer des informations.

C’est cette piste qui a été étudiée et améliorée (publication dans Nature Communications le 11 février) par une équipe de recherche de l’université de Leeds et de l’université de Nottingham. Leur principe est original : il combine la puissance des ondes acoustiques et lumineuses. Pour schématiser, des ondes acoustiques font vibrer les puits quantiques à l’intérieur du laser à cascade quantique.

En s’appuyant sur des lasers Térahertz (ondes électromagnétiques dont la fréquence s’étend entre 0,1 et 10 THz) à cascade quantique, le débit atteindrait 100 gigabits par seconde, soit environ mille fois plus vite qu’un câble Ethernet de qualité.

Courtes distances

Ces types de lasers n’ont cessé, ces dernières années, de voir leurs performances s’améliorer grâce à une meilleure maîtrise des procédés de fabrication des semi-conducteurs à l’échelle nanométrique. Mais, ils présentent néanmoins un point faible : ils ne fonctionnent qu’à des températures cryogéniques…

D’où l’idée d’exploiter d’autres types de laser. L’année dernière, des ingénieurs de l’université de Bochum se sont appuyés sur les changements de polarisation de la lumière. Ces spin lasers transmettent au moins cinq fois plus de données que les meilleurs systèmes conventionnels et ne consomment qu’une fraction de l’énergie.

Publiée en avril 2019 dans la revue Nature, leur étude avait démontré que cette technologie fonctionnait potentiellement à température ambiante et ne nécessitait aucun champ magnétique externe.

Facebook face au coronavirus

Facebook fait face aujourd’hui à la pandémie du nouveau coronavirus sur plusieurs niveaux et assure, de facto, des missions de service public “traditionnel” à l’échelle mondiale en s’adaptant à l’évolution rapide et ininterrompue de la crise.

La mastodonte des réseaux sociaux est devenue il y a quelques semaines un espace d’information et d’échange indispensable et, en même temps, un passe-temps bienséant pour des dizaines de millions de personnes confinées chez elles pour contrer et limiter la propagation du Covid-19.

Une situation inédite mais néanmoins complexe pour Facebook qui se retrouve devant l’impératif de séparer le bon grain de l’ivraie en matière d’information et éviter “l’effondrement” de ses serveurs face à l’utilisation massive de son “mur“.

Le niveau d’appels passés via WhatsApp et Messenger a doublé par rapport à d’habitude“, a constaté mercredi Mark Zuckerberg, le patron du réseau social lors d’une conférence de presse, ajoutant qu”on est au-delà du pic annuel, qui se produit habituellement lors du nouvel an“.

Prédisant la progression de la pandémie, le géant des technologies a donc doublé la capacité de ses serveurs et s’attend à un flux de communication plus important que jamais.

A ce stade, la majorité des pays ne connaissent pas encore d’épidémies massives, mais si jamais on en arrive là, nos infrastructures doivent être prêtes pour que ce ne soit pas la débâcle. Nous avons un rôle à jouer pour soulager la solitude“, a-t-il précisé.

Assumant de plein pied l’adaptabilité exigée dans les lois du service public, Facebook priorise alors les mesures visant à lutter contre la désinformation et les contenus mensongers ou nocifs, fait prévaloir les informations sourcées et soutient les services et professionnels de santé avec un approvisionnement financier et informatique.

Etant donné leur histoire récente, la réaction de Facebook est suivie de près“, note de son côté Carolina Milanesi, analyste chez Creative Strategies, soulignant que s”ils sont intelligents, ils vont utiliser cette opportunité pour restaurer leur image de marque“, ajoute-t-elle, faisant allusion au scandale de manipulation des données personnelles qui avaient discrédité la valeur de Facebook auprès de plusieurs utilisateurs.

Mercredi, Zuckerberg a annoncé que les contenus “qui font autorité“, apparaîtraient désormais en priorité sur les fils des utilisateurs (d’abord européens et américains), sous la forme d’un “centre d’information sur le coronavirus“.

Les messages et vidéos viendront de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), mais aussi d’experts et de personnes célèbres, pour encourager les personnes à appliquer la distanciation sociale, primordiale dans la lutte contre la contagion.

Quant au télétravail, Zuckerberg a indiqué qu’il travaillait de chez lui, comme la plupart de ses salariés et les milliers de modérateurs de contenus, principalement employés par des sous-traitants.

Nous sommes en train de réorganiser la modération des contenus les plus sensibles: nos employés à plein temps vont s’en occuper pour l’instant“, a indiqué Mark Zuckerberg, précisant que les sous-traitants seraient payés, même à ne rien faire.

Les équipes chargées de la prévention des comportements auto-destructeurs ou suicidaires seront épaulées et continueront de travailler à plusieurs, “comme les urgentistes ou la police“, a-t-il expliqué, craignant que “l’isolation n’entraîne plus de dépressions“.

Ce mode de travail provisoire aura un impact sur l’effectif des modérateurs de contenus moins dangereux, mais le système d’intelligence artificielle (IA) dont dispose Facebook est capable de tamiser au préalable les publications suspectes.

On peut s’attendre à une efficacité un peu moindre dans les domaines moins urgents“, a toutefois reconnu Mark Zuckerberg.

Coronavirus et système d’information

L’information de qualité est un enjeu majeur dans toute crise. Le gouvernement du Québec l’a très bien compris. La qualité de l’information et la cohérence des messages sont au rendez-vous. Nous comprenons mieux les messages et la pertinence des mesures qui sont prises. Nous acceptons plus facilement de modifier nos comportements pour des intérêts plus grands que les nôtres. Le leadership de notre premier ministre, de la ministre de la Santé et des Services sociaux et du directeur national de la santé publique et la cohésion et la compétence de notre communauté scientifique et médicale font honneur à notre société et ferment la porte aux fausses nouvelles que favorise la gestion par le vide.

Les mesures urgentes pour diminuer la progression de la maladie, pour mettre en place un système d’évaluation et pour adapter les services de santé ont été prises. D’autres viendront sans doute dans les prochains jours et les prochaines semaines. Les efforts pour s’assurer de leur mise en place et de leur maintien sont gigantesques et demeurent une priorité du gouvernement et de toute notre société.

Il faudra cependant rapidement mettre en place un système d’information et un tableau de bord permettant à la population, aux médias et au système de santé de suivre en même temps et avec les mêmes informations l’évolution de la maladie et l’évolution des performances du système d’évaluation.

Ces informations nous seront nécessaires pour maintenir notre solidarité tout au long d’une crise qui sera longue, pour éviter la panique, pour mieux comprendre les nouvelles décisions de nos gouvernements et pour nous assurer de la performance de notre système d’évaluation et de notre système de santé.

Certains résultats du système d’évaluation sont disponibles. Dans les médias, c’est le nombre de cas de personnes atteintes et la progression journalière qui retient actuellement l’attention. À mesure que le système d’évaluation deviendra plus performant et que la maladie progressera, le nombre de cas subira une progression très rapide, ce qui risque d’augmenter la peur et l’angoisse. La comparaison de l’augmentation du nombre de cas avec l’augmentation du nombre de personnes testées demeure essentielle pour une information de qualité. Pour mieux connaître la gravité de la maladie et son impact sur la population et le système de santé, des informations sur le nombre de cas d’hospitalisation, de mortalité et de guérison seront nécessaires.

Des informations sur les principales étapes du processus d’évaluation devraient également être rendues disponibles pour mesurer la fluidité du processus et la progression de la maladie. Par exemple, avec le nombre d’appels reçus, le nombre de personnes à tester, le nombre de personnes testées et le nombre d’analyses produites, nous pourrions anticiper la progression de la maladie, mesurer les efforts pour répondre aux besoins de la population et certains goulots d’étranglement du processus.

À mesure que la maladie progressera, des questions de plus en plus nombreuses se poseront sur l’efficacité du système d’évaluation et sur sa capacité de rendre compte des progressions de la maladie. Des questions se posent déjà sur les attentes au téléphone, les difficultés de joindre le système, les délais pour pouvoir passer les tests et les délais pour obtenir des résultats. Il ne sera possible d’apporter des réponses crédibles à ces questions que si des indicateurs précis de performance sont établis et que la cueillette d’informations sur une base continue permet de mesurer et de rendre compte de l’écart avec ces critères.

L’efficacité du système d’évaluation joue un rôle essentiel pour le contrôle de la transmission de la maladie et pour mesurer l’évolution de la maladie en temps réel sur une base quotidienne

Pour une région comme la nôtre, des questions de plus en plus nombreuses se poseront rapidement sur la capacité des informations au niveau québécois de rendre compte de la situation dans la région. La mise en place d’un système régional d’information s’impose et devient une priorité à la fois pour mesurer la performance de notre système d’évaluation régional et la progression de la maladie dans la région. Une attention particulière pourrait être donnée à la transmission communautaire interrégionale de la maladie.

Toujours plus d’intelligence artificielle : l’avenir de l’informatique se dévoile

Nous approchons du jour où les interfaces utilisateur et l’expérience utilisateur (UI et UX) auront bien plus de poids que le travail via les écrans des périphériques. Il se pourrait même qu’elles ne contiennent plus du tout d’écran.

‘est en tout cas le point de vue d’Accenture, qui explicite dans un rapport récent la montée en puissance de l’intelligence artificielle comme nouveau pourvoyeur d’UI et d’UX. Les développements tels que les véhicules autonomes et les assistants vocaux à domicile ne sont que des exemples préliminaires qui suggèrent que l’informatique sans écran pointe à l’horizon.

Cela a des implications sur la façon dont les entreprises travaillent, ainsi que les clients. Déjà, il y a plein de discussions – et de pilotes – qui impliquent l’utilisation d’outils et d’objets connectés sur le lieu de travail. De quoi « augmenter » les tâches des employés.

Les auteurs du rapport font trois prédictions:

  • « Dans cinq ans, plus de la moitié de vos clients sélectionnera vos services en fonction de votre IA plutôt que de votre marque traditionnelle ».
  • « Dans sept ans, la plupart des interfaces n’auront pas d’écran et seront intégrées aux tâches quotidiennes ».
  • « Dans 10 ans, les assistants numériques seront tellement répandus qu’ils garderont les employés productifs 24/7/365, fonctionnant en arrière-plan pour les interactions sur le lieu de travail, comme la création de résumés vidéo juste après une réunion importante ».

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Les systèmes vocaux : des pionniers

Les résultats d’Accenture sont basés sur un sondage auprès de 5 400 dirigeants à travers le monde. « Au-delà de l’outil de pointe pour l’entreprise, l’IA prend des rôles plus sophistiqués au sein des interfaces technologiques » affirme l’auteur du rapport. « Des véhicules autonomes qui utilisent la vision par ordinateur aux traductions en direct rendues possibles par des réseaux neuronaux artificiels, l’IA rend chaque interface à la fois simple et intelligente et établit un point de référence pour savoir comment les futures interactions fonctionneront ».

Dans le sondage, 79% des cadres conviennent que l’IA aidera à accélérer l’adoption de la technologie dans l’ensemble de leurs organisations. En outre, 85% indiquent qu’ils investiront largement dans les technologies liées à l’IA au cours des trois prochaines années.

Les auteurs d’Accenture citent un excellent exemple de l’IA qui fait sa première incursion dans l’UI et l’UX d’entreprise : les systèmes activés par la voix. « Les progrès dans le traitement du langage naturel et l’apprentissage par machine rendent la technologie plus intuitive à utiliser, comme le fait de dire aux assistants virtuels de programmer une réunion au lieu d’accéder au logiciel de planification pour trouver un temps, créer un événement et entrer les détails », déclare-t-il. « L’IA joue déjà une variété de rôles tout au long de l’expérience utilisateur. Au niveau le plus simple, elle effectue de la curation pour les personnes, comme l’application mobile Spotify qui suggère une nouvelle musique basée sur des choix d’écoute précédents. Dans un rôle plus important, l’IA utilise de l’apprentissage automatique pour orienter des actions vers un meilleur résultat ».

Vers de gros changements sur les interfaces

Les principaux fournisseurs de technologie pour les entreprise cherchent également à faire en sorte que l’IA soit utilisée comme interfaces informatiques, « de Salesforce Einstein à Microsoft Azure Cognitive Services en passant par Google Cloud Platform« . Il existe également des plates-formes open source d’IA disponibles – « de TensorFlow de Google à la plate-forme Trusted Analytics d’Intel. Caffe, un framework d’apprentissage profond développé à l’Université de Californie de Berkeley, a été la base du projet Deep Dream Google publié en 2016 pour montrer comment leurs réseaux neuronaux artificiels voient des images ».

La combinaison « d’interactions intuitives et naturelles et la disponibilité des outils open source ouvre la voie à de gros changements sur les sujet de l’interface » ajoute l’équipe Accenture.

Comment embarquer dans ce voyage sans écran dopé à l’intelligence artificielle ? Paul Daugherty, responsable technologie et innovation d’Accenture, décrit les actions que les entreprises doivent prendre pour explorer les applications d’UX avec de l’intelligence artificielle :

  • « Prenez les canaux de communication existants et déterminez comment ces derniers peuvent devenir plus intelligents – et ce en s’inspirant d’une autre interface de conversation ou d’applications d’interface vocale déjà réussie ».
  • « Observez toutes les interactions entre les clients et les employés et demandez-leur comment elles peuvent être améliorés grâce à l’IA ».
  • « Regardez les nouvelles interfaces au-delà de l’écran et considérez comment les nouveaux canaux peuvent permettre des conversations multidimensionnelles ».

CONSEILS PRATIQUE POUR APPRENDRE PLUS RAPIDEMENT LA PROGRAMMATION

Un diplôme en informatique n’est plus une condition préalable pour établir une carrière en programmation florissante de nos jours. En fait, une partie des programmeurs qui réussissent aujourd’hui sont autodidactes tandis que d’autres ont participé à des boot camp de codage tel que le village de l’emploi  qui a accéléré leur processus d’apprentissage.

La programmation et le codage évoluent rapidement – de nouveaux langages de programmation et astuces de codage émergent presque tous les jours. Les astuces de programmation que vous apprenez maintenant seront peut-être légèrement différentes avant même de commencer à pratiquer votre métier. Pour cette raison, la vitesse est un facteur important pour devenir un développeur prospère.

Voici  5 conseils pour vous aider à apprendre à programmer plus rapidement et à commencer votre carrière dès que possible.

1. DÉFINISSEZ VOTRE OBJECTIF

Avant de vous lancer dans le processus d’apprentissage de la programmation, vous devez  trouver une raison claire pour laquelle vous voulez maîtriser ce métier. Vous souhaitez développer des applications à l’avenir?  Voulez-vous affiner vos compétences actuelles pour obtenir une promotion ou décrocher un emploi mieux rémunéré? Une fois que vous aurez défini votre objectif, il vous sera plus facile de choisir une bonne stratégie pour apprendre à coder.

Si vous souhaitez développer des applications ou des jeux une fois que vous avez confiance en vos compétences, vous devez découvrir quels langages de programmation sont largement utilisés dans ces secteurs. Sur cette route, assurez-vous de protéger votre vie privée, car en tant que débutant, vous pouvez être la cible d’attaques malveillantes. Une fois cela fait, vous pouvez identifier les domaines sur lesquels vous devez vous concentrer pour atteindre vos objectifs.

2. MINEZ L’OR DANS DES COURS EN LIGNE GRATUITS

Vous n’avez pas à dépenser toutes vos économies pour apprendre la programmation. Bien qu’il existe de nombreux cours  adaptés aux nouveaux programmeurs comme le programme proposé par le village de l’emploi , il existe également des tonnes d’outils et de didacticiels gratuits pour les débutants. Des sites comme Programming Hub et Udemy offrent de nombreuses leçons faciles à comprendre qui peuvent vous aider à apprendre les bases de la programmation.

Le Raspberry Pi est devenu le micro-ordinateur le plus utilisé par les programmeurs débutants comme par les programmeurs experts. L’acquisition de ce micro-ordinateur abordable et puissant vous aidera à apprendre la programmation rapidement car il offre des tonnes de possibilités d’apprentissage. De nombreux systèmes d’exploitation Raspberry Pi disposent d’excellents outils de développement que vous pouvez utiliser pour apprendre et affiner vos compétences en programmation.

3. COMMENCEZ AVEC LES BASES

Même si vous avez déjà des connaissances de base en programmation à votre actif, ne tombez pas dans le piège de sauter les étapes de base et de plonger directement dans les concepts avancés. Au lieu de cela, commencez par les étapes élémentaires afin de pouvoir bâtir une base solide pour vos connaissances en programmation.

Vous devriez toujours continuer à revoir ces notions de base tout en continuant à apprendre. Si vous contourner les premières étapes, il y a de fortes chances que vous ayez du mal ou même que vous soyez bloqué lorsque vous commencez à apprendre les concepts les plus complexes.

4. CHERCHEZ LA DIFFICULTÉ  

Introduire un peu de difficulté  dans le processus d’apprentissage de la programmation est une décision intelligente. Si tout ce que vous faites chaque jour est de lire  un livre sur le codage , vous vous ennuierez probablement. Heureusement, il existe de nombreux sites en ligne comme le village de l’emploi qui proposent des programmes  adaptés conçus pour les programmeurs.

En injectant de la difficulté dans le processus d’apprentissage, vous pouvez maîtriser plus de compétences de codage plus rapidement sans vous ennuyer. Avec autant de casse tete , vous devrez effectuer des recherches pour identifier ceux qui répondent à vos besoins. N’oubliez pas que ces casse tete  se présentent à différents niveaux, alors assurez-vous de choisir au mieux ce qui correspondent à vos compétences.

5. CONTINUER À PRATIQUER ET DEMANDER DE L’AIDE LORSQUE NÉCESSAIRE

Si vous voulez apprendre à coder plus rapidement et devenir un excellent programmeur, vous devez être prêt à y investir d’innombrables heures et beaucoup d’efforts. Assurez-vous que vous disposez suffisamment de logiciels et des bons outils de codage pour pouvoir écrire du code sans erreur.

Demandez à un programmeur professionnel actif dans l’industrie de vous tenir la main et de vous guider dans votre choix. Un expert en codage compétent vous aidera lorsque vous serez bloqué ou que vous aurez de la difficulté à comprendre un certain concept.

Apprendre la programmation n’est pas une chose du jour au lendemain. Cela prend du temps, des efforts et, surtout, la volonté d’apprendre. Pour accélérer le processus d’apprentissage, vous devez rester motivé et positif. Des erreurs sont inévitables, mais cela ne signifie pas que vous abandonnez. Au lieu de cela, cela signifie que vous apprenez d’eux et travaillez à devenir un meilleur programmeur

Redaction : expert du village de l’emploi

L’ENA dans la tourmente

Tempête sur l’Ecole nationale d’administration : tandis qu’un rapport conclut à sa nécessaire refonte, un document produit par des élèves en dénonce les graves dysfonctionnements.