Le géant américain GE veut éliminer plus de 1 000 emplois en France
Le plan social touche surtout la section turbines à gaz de General Electric située dans le Territoire de Belfort.
General Electric (GE) a déclaré, mardi 28 mai, un plan social portant sur l’élimination de 1 050 emplois en France, surtout dans sa section turbines à gaz implantée dans le Territoire de Belfort.
La branche turbines à gaz perdrait près de 800 postes à Belfort et Bourogne (Territoire de Belfort), tandis que 252 emplois seraient éliminer dans les services administratifs hérités des activités énergie d’Alstom rachetées il y a trois ans par GE, selon Karim Matoug, délégué central de la Confédération générale du travail (CGT).
« C’est plus de la moitié des salariés de l’activité gaz […] qui vont perdre leur emploi avec cette annonce », déclarant, dans un communiqué, des élus locaux parmi lesquels figure le maire (LR) de Belfort, Damien Meslot.
Le site de Chonas-l’Amballan, en Isère, qui fabrique des pièces pour turbines à gaz avec ses 30 salariés, serait, lui, vendu.