« Des quotas en prépas scientifiques ne sont pas synonymes de baisse de niveau : ils permettraient de mieux identifier les talents féminins »
Imposer un minimum de 30 % de filles dans ces filières d’excellence contribuera à l’élargissement du vivier de candidats, estime l’économiste et mathématicien Elyès Jouini, dans une tribune au « Monde ». La sélection y gagnera en qualité et en équité.