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Alors que les entreprises n’hésitent plus à recourir aux services de travailleurs en free-lance, comment DRH et managers sont appelés à gérer ces collaborateurs venus de l’extérieur ? Un sujet abordé lors de la conférence « Entreprise hub ou Uber ? », organisée le 10 octobre par l’Observatoire des cadres de la CFDT.
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A l’ère de « l’entreprise étendue », la sous-traitance de pans entiers de l’activité d’une entreprise à des travailleurs indépendants se banalise et s’accélère. Selon un bilan de la plate-forme de mise en relation Malt, BNP Paribas a recouru aux services de pas moins de 607 free-lances inscrits sur ce service (contre 307 en 2018), suivi de près par Orange (avec l’emploi de 530 free-lances inscrits sur Malt), Publicis (391)… Même les grands comptes n’hésitent plus à confier des projets, parfois d’envergure, à des prestataires extérieurs.
Sur le modèle popularisé par Uber, de nouvelles formes de collaboration voient le jour, par l’intermédiaire ou non d’une plate-forme de « free-lancing ». Lors de l’emploi d’un travailleur indépendant, le contrat de travail se voit remplacé par un contrat commercial entre le donneur d’ordres et le prestataire. Employeurs et direction des ressources humaines (DRH) se retrouvent alors face à un nouveau dilemme : comment manager ces collaborateurs non soumis au fameux devoir de subordination du salarié ? Tel était le sujet de la conférence Entreprise hub ou Uber ? organisée par l’Observatoire des cadres de la CFDT, le 10 octobre.
« Quand on parle d’entreprise étendue, cela n’a rien de nouveau, rappelle en introduction Laetitia Vitaud, dirigeante du cabinet d’études spécialisé dans le futur du travail Cadre Noir Ltd. Depuis les années 1970, le dogme dominant est d’externaliser tout ce qui n’est pas le cœur de métier de l’entreprise, des femmes de ménage aux services support ». Une nouveauté néanmoins : la disparition du contrat de travail, qui régissait les relations entre employeurs et employés. Par ailleurs, « les free-lances ont inventé de nouvelles manières de travailler à travers le coworking, l’utilisation de logiciel en open source… », souligne la spécialiste. De nouvelles méthodes de travail en mode « collaboratif » et « agile », recherchées par les entreprises – en théorie.
Si la flexibilité des free-lances est appréciée, la disparition des rapports hiérarchiques, que sous-tend le statut de travailleur indépendant, se gère plus difficilement. « Les formes de contrôle et de pilotage des entreprises restent dépendantes des logiques habituelles », estime Pascal Ughetto, professeur à l’université de Paris-Est-Marne-la-Vallée et chercheur au sein du Laboratoire techniques, territoires et sociétés (LATTS).
Les choses sont très simples : deux seuls cas de figure se présentent, explique Dominique Prévert, d’Optimaretraite.
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Question à un expert
Qui sera concerné par la réforme des retraites ?
Vous ne pouvez pas ignorer que le gouvernement travaille actuellement à un nouveau système de retraite universel dit « à points ». Mais croulant sous les informations souvent confuses et quelquefois contradictoires, vous ne savez plus à quelle sauce vous allez être mangé ! Alors éteignez vos télévisions et vos radios et revenez aux choses simples et essentielles… car, en réalité, deux seuls cas de figure se présentent.
Soit vous êtes né en 1963 ou après, vous faites effectivement partie de ceux qui seront concernés par la prochaine réforme. Soyez alors vigilant et attentif aux nouvelles règles du jeu, qui vous concerneront forcément !
Soit vous êtes né avant 1963, vous ne serez alors aucunement concerné par la réforme.
Dans ce cas, les règles du jeu qui prévaudront sont celles d’aujourd’hui. Ne vous laissez pas détourner des enjeux majeurs d’une stratégie de fin de carrière et de départ à la retraite que vous devez élaborer en identifiant notamment : votre âge légal de départ à la retraite, l’âge de votre taux plein, les possibilités de rachat de trimestres et l’intérêt de ce rachat, les possibilités de cumul emploi retraite, la manière dont vous protégez votre conjoint par la réversion… Tout cela continue de vous concerner de manière identique, et vous devez rester, dans la mesure du possible, pilote de vos propres choix en fonction de vos propres intérêts.
Le traitement du bruit en entreprise et des temps de récupération des salariés par le décloisonnement des espaces de travail est inapproprié, explique le neuroscientifique Gaëtan de Lavilléon, dans une tribune au « Monde ».
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Tribune. Selon une étude récente conduite par l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS), l’insatisfaction des salariés en open space viendrait à 25 % du bruit, qui arrive en tête des nuisances citées. Et pour cause. Bien que notre cerveau soit un organe extrêmement puissant, notre attention, qui lui permet de traiter en priorité les informations les plus pertinentes, demeure très fragile : au moindre bruit, elle peut se retrouver « capturée », nous conduisant à changer d’activité en permanence – toutes les trois minutes en moyenne selon les conclusions d’une étude publiée en 2004 par deux chercheurs de l’Université de Californie.
D’après l’auteur de l’étude de l’INRS, l’acousticien Jacques Châtillon, « la gêne ressentie est surtout liée aux conversations intelligibles qui empêchent de se concentrer sur autre chose ». La preuve, s’il en est, des limites rencontrées par le décloisonnement des espaces de travail.
Pire, et c’est pour le moins contre-intuitif, deux chercheurs de la Harvard Business School ont montré qu’en passant de bureaux fermés à des espaces ouverts, les salariés de plusieurs entreprises ont vu leurs échanges en face à face chuter de près de… 70 % ! Voilà donc une triple peine pour les salariés comme pour les organisations : les open spaces provoquent davantage de nuisances, altèrent notre concentration, mais aussi la qualité de nos interactions.
L’ambition originelle était pourtant louable : favoriser les échanges et la collaboration en décloisonnant l’espace. Malheureusement, cette transformation a été effectuée au détriment de la concentration des individus. Il est donc nécessaire de réinventer des espaces de travail pour concilier les activités propices à la collaboration et à la concentration de chacun.
Dans la région bordelaise, une équipe de courtiers – confrontée au bruit et à une promiscuité nécessaire à leur activité – a opté pour un espace de travail partagé circulaire favorisant une circulation immédiate des informations visuelles et sonores entre les salariés. Dans le même temps, à proximité immédiate, ont été également installées des cabines acoustiques leur permettant de s’isoler, afin de pouvoir « sortir du flux ».